" Regarde mon chéri. Puisque je ne le serai jamais pour toi, je t’ai trouvé une amante qui ne se plaindra pas que tu aies un tout petit zizi, sans doute un peu passive donc un peu soumise du coup, même si elle ne peut pas tailler de pipes. Je pourrai lui prêter certaines de mes fringues ou si tu préfères t’aider à lui trouver des trucs un peu vulgaire pour exciter ta libido. Malheureusement pour toi il y a deux bémols. Un, puisque c’est moi qui ait la clé de ta cage de chasteté, tu ne pourras la baiser que quand je t’y autoriserai. Deux, puisque tu n’as le droit de jouir qu’en ma présence, vous allez un peu manquer d’intimité. Mais après tout tu m’as déjà vu faire l’amour avec un autre homme, non ? "
Situation très excitante …
Pourquoi le bon grand garçon chaste que je suis n’aurait-il pas lui aussi le droit de jouer à la poupée sous la surveillance de la bienveillante gardienne de sa chasteté lorsque celle-ci libère le biberon pour qu’il puisse donner son lait à poupée lorsqu’il a été bien sage? « Tiens, joue à la poupée mon grand ! Tu as été bien sage. » sont des mots tendres que j’aimerais beaucoup entendre de la part de la Maîtresse lorsqu’elle autorise à donner le lait du biberon à poupée.