" Je comprends que ta frustration soit à son comble après 4 longues semaines d’abstinence mais je ne me sens ni responsable, puisque je n’ai fait que suivre un mouvement que je n’avais pas initié, ni même solidaire puisqu’en tant que Femme je ne me sens pas concernée. Alors pourquoi me priver du plaisir de caresser mon abricot en ta présence pour que tu le partages, même virtuellement, avec moi ? "