" Si j’aime te fesser ce n’est pas juste pour le plaisir de t’humilier mais parce que, puisque tu n’as rien d’un homme, j’aimerais que tu te sentes de plus en plus petit garçon, obéissant, malléable, incapable de résister à mes demandes dégradantes pour toi, qui te rendront si attendrissant qu’après j’aurai envie de te materner pour mieux te relever. "