" J’ai eu tord de m’emporter quand tu m’as dit que tes anciennes amours avaient de petites poitrines et que tu savais t’en contenter. En fin de compte je suis celle qui t’a fait découvrir les vertus d’une poitrine plus opulente et la première dont les seins te fassent maintenant fantasmer au point que tu sens un irrésistible besoin de les téter comme un petit bébé prêt à porter et mouiller une couche pour que je l’y autorise. Si tu n’es pas le seul à les apprécier, tu es le seul à changer ainsi radicalement de comportement à leur contact et je suis finalement ravie d’être la seule qui aura jamais partagé avec toi ces moments de douceur maternelle. "