Lorsqu’il est piètre danseur, un homme ne voit généralement pas d’inconvénient à ce que sa Femme danse avec un autre cavalier, sans pour autant être jaloux ou douter de l’amour qu’Elle lui porte.
Alors pourquoi le même homme, constatant que son zizi n’a rien d’un pénis et qu’il ne pourrait la satisfaire autrement qu’avec sa langue n’accepterait-il pas, à défaut d’être bon amant, d’être un bon cocu, obéissant à ses désirs de Reine, ne doutant pas de l’amour qu’Elle lui porte mais reconnaissant également qu’Elle a besoin d’amants pour palier ses insuffisances sexuelles ?