" Non mon amour ! Tu sais bien que le fait que nous soyons mariés ne te donne aucun droit de cuissage sur moi. Tu as accepté ta chasteté et MA liberté comme conditions à notre union. Ta frustration de ne pouvoir me faire l’amour me rend plus désirable à tes yeux et l’humiliation d’être cocu te rend plus soumis. C’est ce que nous voulions tous les deux et jamais je ne mettrai en danger l’équilibre de notre couple en t’accordant une satisfaction passagère. "
" Maintenant laisse-moi seule. Je t’appellerai quand j’aurai besoin de toi. "