Après avoir vénérer (et cirer) les bottes de sa Reine, il est logique qu’un chevalier honore ses pieds.
Archives mensuelles : mai 2012
Position
Jamais dans cette position (ni aucune autre d’ailleurs), un chevalier au petit zizi ne pourrait donner à sa Reine le plaisir de sentir son vagin plein jusqu’à son utérus, au point de crier de bonheur.
C’est sans doute pour cela (lorsqu’il a un petit zizi) que beaucoup préfèrent lui refuser toute forme de pénétration, afin qu’il ne les déçoivent pas et préfèrent trouver des amants bien membrés pour palier à ses carences sans être frustrées.
Profiter
Pies
Madame Sans Gène
Jouet
Ce n’est pas parce que le zizi d’un chevalier est trop petit pour apporter un quelconque plaisir sexuel à sa Reine qu’il est totalement inutile pour l’épanouissement de leur couple. C’est même tout le contraire.
En le contrôlant, en le tripotant, en l’excitant tout en faisant des remarques désobligeantes sur sa taille et son inaptitude à satisfaire une Femme, bref en le considérant comme un jouet et en humiliant son propriétaire, une Reine conduira ce dernier à être plus vulnérable, plus honteux de son incapacité, plus désireux de la satisfaire autrement, en deux mots plus soumis.
En agissant ainsi régulièrement une Reine aidera aussi son chevalier à accepter le fait d’être cocu voire même de le souhaiter puisqu’il se sentira l’unique responsable de l’insatisfaction de sa Maîtresse.
Ironie de l’histoire, puisque ces tripotages sont malgré – les humiliations liées – physiquement et sexuellement agréables, un soumis est toujours dans leurs attentes et se rend ainsi complice de son propre endoctrinement.
Surprise
Offrande
En acceptant de porter une cage de chasteté, un chevalier fait un cadeau à sa Reine, puisqu’il lui offre le contrôle de ce qui fait l’essentiel de sa virilité, sa capacité à avoir des érections et à jouir.
Ce cadeau aura d’autant plus de prix qu’Elle la lui fera porter – en signe de soumission à sa Féminité – au moment même où Elle le fera cocu, c’est à dire au moment où Elle profitera de l’érection et de la jouissance d’un autre homme que lui.