Quand il est entendu qu’une Reine peut faire cocu son chevalier quand Elle l’entend, Elle peut – même en présence de ce dernier – avec beaucoup de charme mais de manière très directe, faire comprendre à un homme qu’Elle est ouverte (au deux sens du terme) à l’idée de mieux le connaitre.
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Jouet
Ce n’est pas parce que le zizi d’un chevalier est trop petit pour apporter un quelconque plaisir sexuel à sa Reine qu’il est totalement inutile pour l’épanouissement de leur couple. C’est même tout le contraire.
En le contrôlant, en le tripotant, en l’excitant tout en faisant des remarques désobligeantes sur sa taille et son inaptitude à satisfaire une Femme, bref en le considérant comme un jouet et en humiliant son propriétaire, une Reine conduira ce dernier à être plus vulnérable, plus honteux de son incapacité, plus désireux de la satisfaire autrement, en deux mots plus soumis.
En agissant ainsi régulièrement une Reine aidera aussi son chevalier à accepter le fait d’être cocu voire même de le souhaiter puisqu’il se sentira l’unique responsable de l’insatisfaction de sa Maîtresse.
Ironie de l’histoire, puisque ces tripotages sont malgré – les humiliations liées – physiquement et sexuellement agréables, un soumis est toujours dans leurs attentes et se rend ainsi complice de son propre endoctrinement.