Pour beaucoup de Femmes bien sous tous les rapports, une Reine (qu’Elle soit mariée ou pas) qui à des amants fait preuve au mieux d’immoralité et au pire d’amoralité (surtout lorsqu’Elle inclut son chevalier dans la relation).
Comme souvent, les jugements de façade cachent la jalousie mais aussi la frustration de ne pas oser se donner les moyens d’en faire autant.
Bien sûr une Femme n’a besoin de personne pour s’arrimer au sexe de son amant mais en demandant à son chevalier de le glisser dans son intimité une Reine obtiendra de ce dernier :
Taquine (?) et prévoyante, cette Reine porte un diadème pour signifier à son chevalier que, même si Elle entend bien parfois se sentir "possédée" par un amant viril, Elle n’en reste pas moins sa Maîtresse.
Exiger la présence de son chevalier et chercher son regard alors qu’Elle fait l’amour à son amant peut certes être vu chez une Reine comme une preuve de perversité mais aussi comme une preuve d’amour de celle qui ne veut rien lui cacher et tient à partager avec lui tous les moments de sa vie.
Une Reine – et ce malgré le fait qu’il soit hétéro – peut souhaiter, pour des raisons qui lui sont propres et qu’il ne devra pas discuter, offrir la bouche de son chevalier à la queue de certains de ses amants.
Dans ce cas et avant de passer à l’acte, il n’est pas rare qu’elle joue le rôle de l’homme pour lui enseigner les techniques conduisant à procurer une fellation parfaite.
Quand un chevalier rentre du travail, il ne doit s’étonner de rien et surtout pas de découvrir sa Reine en train de sucer un amant.
C’est bien connu, les vacances sont la meilleure période pour faire des rencontres.
C’est particulièrement vrai pour certaines Reines qui en profitent pour ajouter des amants à leur tableau de chasse.
Après un an de mariage, il est d’usage de ne plus placer une jeune mariée à côté de son conjoint, ce qui facilite – lorsqu’Elle est Reine – ses travaux d’approche auprès d’un futur amant possible.
Photo – ou scène vécue – pour confirmer à son chevalier que cette Reine ne saurait prendre d’amant dont la taille du sexe serait inférieure à celle d’un de ses plus petits gods donc – généralement – largement supérieure à sa quéquette à lui.
A moins que ce ne soit pour lui faire comprendre qu’après lui avoir appris à sucer un god, Elle attend maintenant plus de lui.
S’il fait beau en juillet, bonne récolte ; s’il pleut, moisson molle.
