Sur un même plan, ce qui l’unit à son amant et ce qui l’unit à son chevalier et la promesse, pour lui, s’il la lèche de le libérer provisoirement de sa cage, le temps d’une branlette.
" Tu me prends pour qui ? Bien sûr que j’ai mis une culotte ce matin avant de partir travailler. Puisque tu es si curieux, viens donc embrasser mon minou avec ta langue et je pourrais te dire pourquoi je ne l’ai plus. "
" Tu aimes la vue ? Je ne parle pas du paysage mais de Moi gros bêta. Après tout ne suis-je pas ce qu’il y a de plus important à tes yeux et ne mérite-je pas que tu n’aies de cesse de me le rappeler ? "
" Malheureusement pour toi, ton zizi ne connaitra jamais la douceur de ma chatte mais tu n’auras pas tout perdu, puisque je m’attacherai à ce que ton nez en connaisse toutes les odeurs et ta langue tous les goûts. "