" Viens fourrer ton nez à l’intérieur de ma botte comme un gentil toutou qui est rassuré de pouvoir sentir les odeurs corporelles de sa Maîtresse. Comme je l’ai portée sans chaussette, le cuir en est imprégné de celles de mes pieds. Je suis sûr que tu vas adorer petit pervers et que tu seras tout excité quand tu devras lécher la sueur emprisonnée entre mes orteils. "
Attitude respectueuse d’un chevalier en signe de soumission à l’autorité Féminine de sa Reine et main protectrice de cette dernière, qui accepte ses hommages et l’encourage à les prolonger.
La plupart des hommes sont par nature égoïste et paresseux. Tous les maris devraient être éduqués à donner du plaisir à leur Femme et les chevaliers à en faire leur priorité
Solid Gold Clit est l’emblème d’un mouvement – la Cliteracy – initié par l’artiste Sophia Wallace qui a pour but de lutter contre l’ignorance qu’ont les hommes (mais aussi de nombreuses Femmes) de l’importance du clitoris dans l’orgasme Féminin.
Mieux, si le mot Cliteracy n’a (hélas) pas encore d’équivalent en français, il est l’opposé en anglais du mot phallocratie, Sophia Wallace entend lutter contre l’image de pouvoir qu’incarne le phallus et faire du prosélytisme – expositions, manifestations, réunions, œuvres d’art – pour imposer le pouvoir du clitoris (et du Féminin ?) dans le monde.
Un mouvement qui ne peut qu’intéresser Reines et chevaliers puisque leurs relations sont généralement fondées sur cette conviction mais qui devrait au moins aussi toucher ceux qui prônent l’égalité dans un couple afin que le plaisir Féminin ne reste pas le parent pauvre de leur sexualité.
Parfois la nudité sied parfaitement à l’humilité.
Avec un peu d’entrainement, et pour peu qu’Elle l’apprécie à cet endroit, la langue d’un chevalier peut aussi devenir un complément parfait à l’anus (propre) de sa Reine.
Pour certains couples, les chaînes du mariage ne sont pas comme on les imagine.
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Une Femme qui aime porter des bottes et qui aime les bottes qu’Elle porte sera s’autant plus encline, lorsqu’Elle deviendra Reine, à inculquer ce goût à son chevalier et à les lui faire adorer.
Le sourire de Celle qui n’a pas besoin de passer par la salle de bain avant de demander, quémander, attendre le bon vouloir de son partenaire quand Elle souhaite se faire lécher mais, qui au contraire, sait qu’Elle a à sa disposition une langue bien éduquée, avide de la servir et toujours disponible à l’instant où Elle en exprime le désir ou le besoin.
" Tu ne sens rien ? Moi si… Je sens que mes fesses attendent de toi l’hommage qui leur est dû. Alors ne les déçoit pas et dépêche-toi de venir embrasser le cul de ta Reine. "
