Le sourire de Celle qui n’a pas besoin de passer par la salle de bain avant de demander, quémander, attendre le bon vouloir de son partenaire quand Elle souhaite se faire lécher mais, qui au contraire, sait qu’Elle a à sa disposition une langue bien éduquée, avide de la servir et toujours disponible à l’instant où Elle en exprime le désir ou le besoin.
" Tu ne sens rien ? Moi si… Je sens que mes fesses attendent de toi l’hommage qui leur est dû. Alors ne les déçoit pas et dépêche-toi de venir embrasser le cul de ta Reine. "
Dans un couple dirigé par une Reine, tout doit être entièrement tourné vers l’adoration et la nécessaire satisfaction du sexe Féminin.
Quand Elle sait qu’Elle pourra utiliser la langue de son chevalier juste après, une Reine hésite moins à profiter, comme un homme, du plaisir – très masculin – d’uriner en pleine nature.
Après l’avoir débarrassée de sa veste et de son sac et attendu qu’Elle s’installe confortablement, prendre le temps d’accueillir sa Reine avec le respect qui lui est dû.
Même s’il lui en coûte et lorsqu’il en a accepté volontairement le principe (ou la règle) faire cocu son chevalier n’est peut être pour une Reine considéré comme une forme de tromperie au caractère immoral. Tout juste pourrait-Elle être considérée comme amorale par des âmes bien pensantes, puisqu’Elle fait fi de la morale qui veut qu’une Femme mariée soit monogame, cette "amoralité" n’étant de toute façon pas condamnable puisqu’elle ne trouble en rien l’ordre public.
Avant d’agir, et quelles que soient les circonstances, un chevalier doit apprendre à gérer les (parfois longs) moments d’attente qui précèdent les contraintes qu’il va subir ou les ordres qu’il va recevoir.
Ce qui différencie (entre autres) une Reine d’une Femme ordinaire, c’est non seulement le caractère parfois particulier de ses demandes mais également sa manière directe de les formuler.
Lorsqu’une Reine s’installe ainsi c’est généralement qu’Elle attend de son chevalier, qu’avant de se glisser sous sa jupe pour honorer son intimité lors de sa toilette, il commence par vénérer ses bottes et/ou ses pieds.
Celle à la cheville de Madame, signe de sa liberté, et celle de la laisse de Monsieur, signe de son appartenance.
