" Pour être franche, et même si ça doit me manquer moins qu’à toi, j’ai parfois envie de te sucer pour te récompenser de tes efforts, de ton obéissance et de ton amour mais, malheureusement pour toi, je dois me retenir pour ne pas prendre le risque que tu y vois un signe de faiblesse de ma part. "
" Bien sûr que tu vas me lécher, comme tu le fais tous les soirs. La vraie question est : est-ce qu’il a mis où pas un préservatif ? "
" Je sais que tu en as peur mais ne crains rien. Pour l’instant il ne s’agit que d’un objectif à atteindre mais je suis sure que d’ici quelques mois, après être passé par des étapes intermédiaires, tu seras fier de le porter pour moi. "
" Mon amie va dormir ici ce soir ; avec moi. Tu peux aller te coucher, nous n’aurons pas besoin de toi ce soir. J’espère que nos soupirs ne t’empêcheront pas de dormir car demain tu risques d’être au centre de nos intérêts. "
" Ma cravache te fait peur ? Ca tombe bien, la peur est souvent bonne conseillère quand il s’agit d’obéir. "
" Ca risque d’être un peu compliqué pour toi au début mais c’est tellement apaisant pour moi de savoir que non seulement il te sera impossible de te branler sans mon accord mais qu’en plus tu ne pourras jamais plus bander pour une autre que moi. "
" Tu sais, en tant qu’infirmière j’ai tout vu, notamment des hommes se trouvant dans des situations très humiliantes en ma présence, sans que cela m’excite le moins du monde. Ce qui est vraiment excitant c’est de savoir que tu vas te retrouver dans les mêmes situations par le simple fait de ma volonté et qu’au lieu de te rassurer, comme je le fais avec mes patients, j’en profiterai pour casser un peu plus ton ego de mâle. "
" Bien sûr que je t’aime. Sinon pourquoi serais-tu là à nous regarder ? "
" Bon anniversaire mon chéri. Ca fait exactement un an que je t’ai posé pour la première fois ta cage de chasteté. Un petit gâteau pour une petite bite mais un grand plaisir pour moi et pour toi aussi je l’espère. Ce soir j’ai envie de fêter dignement les un an de ta nouvelle vie. Et même si nous ne sommes pas dimanche, tu auras le droit de te branler, avant que je ne mette en place ton cadeau, une nouvelle cage, plus seyante parce que plus petite et mieux adaptée à la morphologie de ta petite nouille depuis qu’elle a réduit de taille à force d’être confinée dans ce bijou qui la protège. "
" Tu as vu, il n’y a pas que les hommes qui peuvent pisser dans un lavabo. Le seul problème c’est l’absence de papier pour s’essuyer mais je suis sure qu’un chevalier aimant saura m’offrir sa langue pour palier cet inconvénient. N’est ce pas ? "
