Ce n’est pas parce qu’une Reine peut parfois préférer la compagnie d’une amante à celle d’un amant que son chevalier n’en est pas moins cocu.
" C’est bien tu t’es mis à gauche comme je te l’ai enseigné. Tu es un gentil garçon et je suis fière de toi. Maintenant tu vas devoir apprendre à n’avoir plus aucune pudeur vis à vis de moi. Je veux que tu fasses un quart de tour, toujours sur la gauche et que tu présentes à ma vue ton cul et ta quéquette. "
En se mariant, une Reine ne perd – fort heureusement – pas sa liberté. Au contraire Elle va voir son champs s’agrandir. En effet en s’assurant de "posséder" un chevalier qu’Elle contrôle, qui la respecte, lui obéit et la vénère, Elle n’a plus la pression de rechercher chez un amant l’âme sœur et peut se contenter de privilégier la recherche du plaisir physique à travers des rencontres toujours de qualité mais parfois plus courtes ou avec des hommes mariés sans être frustrée de les savoir non libres.
Quelles que soient les raisons qui conduisent une Reine à souhaiter, lorsqu’Elle est avec son amant, la présence de son chevalier, placer la bouche de ce dernier sous son intimité lui assure un réceptacle pour nettoyer la semence qui sera déposée (avec toutes les précautions d’usage) dans son ventre.