Quand – sur ordre et à n’importe quel moment de la journée – son chevalier s’allonge à ses pieds pour embrasser ses chaussures en signe de respect, une Reine peut afficher un sourire de satisfaction. Elle sait que l’éducation qu’Elle lui donne commence à porter ses fruits.
Une fois leurs voeux prononcés, le marié peut enfin – comme le veut la tradition – embrasser la mariée (avec, dans le cadre d’un mariage D/s, beaucoup de respect et là ou Elle l’entend).
La mimique d’un petit bisou de cette Reine à l’adresse de son chevalier peut être interprétée de diverses façons
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Même quand Elle travaille (dans ce cas en général chez Elle) une Reine peut avoir envie – entre deux dossiers – que son chevalier vienne embrasser sa culotte en signe de soumission et de dévotion à sa féminité.
On peut être père dans la vie et petit garçon pour sa Reine.
Bonne fête à tous ceux qui le sont et aux Reines qui les entourent de leur affection.
Deux doigts posés sur ses bottes mais surtout un regard qui en dit long sur ce que cette Reine attend.
Bas, bottes, gants, cravache, cuir sont des attributs du pouvoir féminin dont une Reine peut se passer mais qui conduisent son chevalier à entrer dans un état de soumission profonde, le rendant plus perméable à ses demandes lorsqu’Elle les porte.
Lorsqu’une Reine a l’anus particulièrement innervé et sensible, le plaisir intellectuel de sentir le pouvoir qu’Elle exerce sur son chevalier, en lui imposant la bassesse de lui lécher le "trou du cul", se renforce du plaisir physique que lui procure sa langue, dans une caresse qui peut alors la conduire jusqu’à l’orgasme.
Une version revisitée de la Vénus à la Fourrure.
Cette Reine pressée n’a pas pris le temps de retirer sa veste mais juste d’ôter sa culotte (en avait-Elle ?) et de prendre l’apéritif préparé par son chevalier que déjà Elle attend sa langue.
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