Après une soirée passée chez un amant, une Maîtresse peut souhaiter être accueillie avec tous les égards dus à son rang et profiter de la frustration et de l’excitation provoquer par la cage de chasteté que porte son chevalier – au moins lorsqu’Elle sort – pour se sentir définitivement Reine.
Avant de rejoindre celui qui lui fera l’amour, cette Reine attend de son chevalier qu’il vienne embrasser ses bottes en lui souhaitant la meilleure des soirées possibles.
Une fois bien éduqué, un chevalier, tel le chien de Pavlov, comprend instantanément lorsqu’il voit sa Reine écarter sa culotte, que cette dernière attend qu’il vienne lécher son intimité.
Tu sais que je t’adore mais ce soir tu seras quand même cocu… Na !…
Lorsqu’une Reine a besoin de toute la largeur du canapé afin de pouvoir se détendre, son chevalier va s’asseoir ailleurs, en général à ses pieds.
Lorsque l’amie d’une Reine est au courant de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier, sa présence n’empêche en rien de passer une soirée ordinaire.
Qu’Elle soit Reine ou châtelaine, quelle que soit sa tenue, une Femme reste Maîtresse aussi bien chez Elle qu’à l’extérieur.
Si comme dans tout couple le dialogue est fondamental à l’intérieur d’un couple D/s, il n’en est pas moins vrai que pour certaines orientations de la vie courante, une Reine peut décider sans avoir à s’en justifier auprès de son chevalier.
Certains fantasmes, inhibés ou non, anciens ou récents, peuvent devenir réalité au moment ou on s’y attend le moins.
Au chevalier – là encore – de comprendre que des plaisirs procurés à sa Reine puissent passer par d’autres que lui.
Quand une Femme investit le canapé et prend possession de la télécommande de la télé, c’est forcement qu’Elle porte la culotte à l’intérieur de son couple.
