Moins sensuel (puisqu’il n’y a pas de contact direct), le martinet est néanmoins l’alternative à la fessée lorsqu’il s’agit de conduire psychologiquement un chevalier à l’état de petit garçon confronté à l’autorité Féminine de sa Reine.
De nombreuses études (comme celle-ci) ont montré que si une Femme recherche à s’accoupler avec un partenaire dans une relation amoureuse, Elle est aussi génétiquement programmée pour chercher de multiples partenaires sexuels au cours de sa vie.
Si beaucoup d’entre Elles inhibent et occultent cette partie de leur personnalité, d’autres l’assument mais souvent au dépend de leur vie amoureuse c’est à dire en multipliant les rencontres sans pouvoir se fixer auprès d’un homme, quand bien même il aurait les qualités de cœur et d’intelligence qu’Elle attendrait de lui.
Cet esprit de liberté, généralement lié à un caractère dominant, fait qu’avec le temps Elles puissent rechercher un partenaire amoureux qui acceptera qu’Elles ne soient pas sexuellement monogames.
Lorsqu’Elle est vraiment dominante, la condition de cette acceptation est sine qua none et son partenaire ne doit pas espérer qu’une fois la relation établie Elle puisse (par amour pour lui) revenir sur cette condition.
S’instaure alors une relation Reine/chevalier, où le chevalier – lui – doit, c’est évident rester fidèle (dans le cas contraire on serait dans une relation traditionnelle mêlée d’échangisme mais pas D/s) voire parfois chaste (dans le sens ou toute pénétration est réservée à ses amants).
Un futur chevalier à qui une Reine impose le fait de devenir cocu consentant doit donc comprendre que si cela renforcera le pouvoir de la Reine et l’humiliation (donc la soumission) du chevalier, il ne s’agit en fait que d’une heureuse conséquence mais pas du but initialement recherché, à savoir la liberté sexuelle irrévocable de la Reine.
En d’autres termes il faut pas confondre conséquence et cause et une Reine qui se frustrerait de ne pas faire son chevalier cocu serait malheureuse mais inversement une Reine qui se forcerait à la faire uniquement en vue de se sentir plus grande le serait tout autant.
Pour conclure : Une relation fondé sur l’acceptation de son cocufiage par le chevalier a au moins deux avantages :
"Dis moi : on dirait que tu as la quéquette toute dure. C’est ma tenue qui t’excite, le fait d’être nu devant moi, parce que j’ai gardé mes gants et que tu aimerais que je te branle ou autre chose ? Tu sais que tu dois tout dire à ta Maîtresse. Approche-toi et raconte-moi tes vilaines pensées de petit garçon !"
Pour celles qui souhaitent perdre quelques kilos en trop, la langue d’un chevalier peut être consommée sans modération.
En effet un orgasme faisant dépenser entre 100 et 150 calories, 4 "repas" quotidiens de ce type (matin, midi, goûter, diner) font perdre entre 400 et 600 calories, soit 20 à 30 % des dépenses journalières moyennes.
NB : Tout en cas supplémentaire est dans ces conditions naturellement bienvenu.