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Epilation du pénis

Imposer l’épilation de son pénis à son chevalier est une pratique courante dans le cadre d’une relation ou c’est la Femme qui est dominante dans le couple.

Cette pratique est une marque de l’acceptation de la soumission de l’homme et un moyen de le rendre moins viril aux yeux de sa Reine. C’est aussi un moyen de l’humilier en rendant sa nudité plus prégnante lorsqu’il doit se présenter dans la tenue d’Adam.

Néanmoins lorsque ce pénis est de taille moyenne ou supérieure à la moyenne, l’absence de poil ne suffit pas à déviriliser totalement son propriétaire.

Inversement, lorsqu’il est inférieur à la moyenne, voire lorsqu’il ne dépasse pas – comme le mien – une dizaine de cm en érection (c’est à dire moins que la taille moyenne d’un enfant de 13 ans), sa pilosité – seul signe apparent de virilité – disparue le fera clairement apparaître pour ce qu’il est réellement, à savoir un zizi de petit garçon.

Cette constatation, si elle renforce le complexe du chevalier peut être aussi vue comme une chance dans la relation qu’il entretient avec sa Reine puisque ce caractère physique imparable facilite – pour l’Une comme pour l’autre – la mise en place d’un rapport psychologique où Elle se positionne comme adulte et lui comme enfant soumis à Son autorité.

La Reine et le petit garçon

Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.

Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.

La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).

NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.

Nettoyage particulier

Un dessin pour illustrer la toilette intime que procure son chevalier à une Reine à une période particulière du mois pour Elle.

Un dessin, car si les règles ne sont ni moins naturelles ni plus dangereuses que tout autre fluide sécrété par sa vulve, le sujet reste néanmoins tabou pour de nombreuses Femmes et leur opinion très tranchée lorsqu’on l’aborde.

Pour certaines dominantes l’idée de les faire nettoyer (partiellement ou totalement) par leur soumis est très excitante parce ces dernières correspondent souvent avec un pic de libido et qu’Elles voient là également un moyen d’affirmer pleinement leur supériorité Féminine. Pour les autres, l’idée même d’y penser est particulièrement horrifiante.

A chacune sa vérité et au soumis de s’adapter.

Facile à comprendre

Même novice, un chevalier lorsque sa Reine lui demande de s’agenouiller et se place ainsi devant lui, comprend qu’il doit embrasser ses fesses.

Une fois éduqué, il saura aussi que lorsque la matière si prête elle pourrait parfois préférer qu’il lèche sa jupe afin qu’Elle sente sa langue sans avoir le désagrément de sentir sa peau humide.

Apparence viril

Ce n’est pas parce qu’un homme a une apparence très viril, qu’il ne cache pas sous son pantalon un zizi de petit garçon incapable de satisfaire pleinement l’appétit sexuel de sa Femme.

En bon chevalier – lorsqu’il l’est – il doit accepter que d’autres hommes se substituent à lui, afin de ne pas frustrer sa Reine de plaisirs qu’il ne saurait lui offrir.