Pour beaucoup de Femmes bien sous tous les rapports, une Reine (qu’Elle soit mariée ou pas) qui à des amants fait preuve au mieux d’immoralité et au pire d’amoralité (surtout lorsqu’Elle inclut son chevalier dans la relation).
Comme souvent, les jugements de façade cachent la jalousie mais aussi la frustration de ne pas oser se donner les moyens d’en faire autant.
Se tripoter la quéquette alors qu’il honore l’intimité de sa Reine est un mauvais réflexe qu’il convient de combattre lors de la phase de dressage d’un chevalier.
Une bonne raison – parmi d’autres – pour ne pas se séparer de son chevalier quand on voit un amant : ne pas être obligée de remettre ses bottes soi-même.
Si les règles précises qui régissent les rapports entre une Reine et son chevalier dépendent de chaque couple, il n’en existe pas moins des règles de base – non négociables – qu’un homme se doit d’appliquer pour satisfaire une Femme Dominante :
et que cette dernière ne manquera pas de lui rappeler lorsqu’Elle l’estimera nécessaire.
" Allez, avoue, je suis sure que tu meures d’envie de vénérer mes nouveaux escarpins vernis mais je veux que ce soit toi qui me le demande, avec tout le respect qui m’est dû et qui leur est dû et, qu’avant de procéder, tu me remercies de t’en avoir donné l’autorisation. "
Lors de son dressage – et à chaque fois qu’Elle en imposera une nouvelle – un chevalier doit apprendre que lorsqu’une Reine apparait dans certaines tenues, il doit instantanément se débarrasser de la sienne et se présenter nu devant Elle dans l’attente de ses ordres.
Profitant de la période des chaleurs estivales, une Reine peut exiger de son chevalier (sans danger pour sa santé) qu’il reste intégralement nu en sa présence (et dans leur intimité bien sûr).
Même si On aime le cuir et qu’On sait l’impact que cela peut avoir sur certains hommes, porter une robe d’été lorsqu’On est une Reine naturellement dominante n’a aucun impact sur le degré de soumission de son chevalier.
A la différence du "baiser baveux" traditionnel où les lèvres se touchent et les langues se mélangent, seule la Reine offre sa salive à son chevalier dans un geste emprunt de supériorité mais aussi d’amour.
Combien d’hommes à travers le monde vénèrent la vierge Marie, l’implorent de les protéger et s’en remettent à ses décisions ? Parmi eux l’immense majorité – hélas – ne sait pas voir que la Femme avec qui il vive pourrait aussi (toutes proportions gardées pour éviter le blasphème) être leur guide, les conduire à devenir meilleur, plus aimant et plus reconnaissant de l’amour qu’Elle leur porte.
