Même s’il reste du chemin à faire pour enfin mettre les Femmes à la place qui leur est due, aujourd’hui déjà, les magazines Féminins n’hésitent pas à les présenter dans des attitudes très dominatrices sans que cela choque le moins du monde leurs lectrices.
Lorsque son chevalier en a une petite et qu’Elle a des talents d’infirmière, une Reine peut parfois organiser une séance de soins de sa quéquette où le sentiment de tendresse se mêlera pour lui à celui de l’humiliation de se sentir tout petit garçon, incapable de se défendre face à cette perte d’intimité et aux réflexions concernant son peu (voire son absence) de virilité.
" Un coup de langue sur la chatte de ta Reine, un coup de langue sur le trou du cul de ta Reine. Un coup de langue sur la chatte de ta Reine, un coup de langue sur le trou du cul de ta Reine… Gentil garçon… Continue jusqu’à ce que je te dise d’arrêter "
Une jupe parfaite pour séduire un amant mais aussi pour se faire servir par son chevalier.
Le plaisir pour une Reine de posséder physiquement son chevalier et de sentir son trou du cul se refermer sur son doigt. L’angoisse pour ce dernier de savoir que le résultat de cet examen pourrait le conduire à recevoir un lavement.
Lors de la phase de dressage de son chevalier une Reine doit rester attentive et veiller à ce qu’il applique à la lettre les gestes qu’Elle lui aura enseignés.
Ne pas porter de culotte – (au moins) lorsqu’Elle est chez Elle – libère une Reine de toute contrainte quand Elle entend faire vénérer ou nettoyer son intimité par la langue de son chevalier.
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" Mon chéri, si tu ne veux pas que tes fesses te chauffent rapidement, tu as intérêt à être très obéissant et très performant car, comme tu le devines certainement, je suis d’humeur badine ce soir. "
Même lorsqu’Elle utilise des préservatifs, une Reine aura toujours besoin de la langue de son chevalier pour nettoyer son intimité, mais également la détendre, après avoir fait l’amour à un amant.
Pour un chevalier franchement hétérosexuel, devoir pour le plaisir de sa Reine (qui aura théâtralisé ou pas la chose) toucher, caresser ou même branler le sexe d’un autre homme est un passage de cap difficile à réaliser et un vrai acte de soumission, pouvant le conduire – si l’expérience ne s’avérait pas traumatisante – a devoir réorienter partiellement sa sexualité (au moins et toujours pour le plaisir de sa Reine).
