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Raconte moi !

"Dis moi : on dirait que tu as la quéquette toute dure. C’est ma tenue qui t’excite, le fait d’être nu devant moi, parce que j’ai gardé mes gants et que tu aimerais que je te branle ou autre chose ? Tu sais que tu dois tout dire à ta Maîtresse. Approche-toi et raconte-moi tes vilaines pensées de petit garçon !"

Régime

Pour celles qui souhaitent perdre quelques kilos en trop, la langue d’un chevalier peut être consommée sans modération.

En effet un orgasme faisant dépenser entre 100 et 150 calories, 4 "repas" quotidiens de ce type (matin, midi, goûter, diner) font perdre entre 400 et 600 calories, soit 20 à 30 % des dépenses journalières moyennes.

NB : Tout en cas supplémentaire est dans ces conditions naturellement bienvenu.

Hautaine

Si comme toute Femme amoureuse une Reine a naturellement envie d’offrir de la tendresse à son chevalier, sa nature – et son intérêt – la pousseront aussi à se montrer parfois hautaine pour lui rappeler que tendresse n’est pas faiblesse et que leur relation n’est pas égalitaire mais que c’est bien Elle qui est supérieure.

Epilation du pénis

Imposer l’épilation de son pénis à son chevalier est une pratique courante dans le cadre d’une relation ou c’est la Femme qui est dominante dans le couple.

Cette pratique est une marque de l’acceptation de la soumission de l’homme et un moyen de le rendre moins viril aux yeux de sa Reine. C’est aussi un moyen de l’humilier en rendant sa nudité plus prégnante lorsqu’il doit se présenter dans la tenue d’Adam.

Néanmoins lorsque ce pénis est de taille moyenne ou supérieure à la moyenne, l’absence de poil ne suffit pas à déviriliser totalement son propriétaire.

Inversement, lorsqu’il est inférieur à la moyenne, voire lorsqu’il ne dépasse pas – comme le mien – une dizaine de cm en érection (c’est à dire moins que la taille moyenne d’un enfant de 13 ans), sa pilosité – seul signe apparent de virilité – disparue le fera clairement apparaître pour ce qu’il est réellement, à savoir un zizi de petit garçon.

Cette constatation, si elle renforce le complexe du chevalier peut être aussi vue comme une chance dans la relation qu’il entretient avec sa Reine puisque ce caractère physique imparable facilite – pour l’Une comme pour l’autre – la mise en place d’un rapport psychologique où Elle se positionne comme adulte et lui comme enfant soumis à Son autorité.

La Reine et le petit garçon

Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.

Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.

La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).

NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.