Pour un chevalier franchement hétérosexuel, devoir pour le plaisir de sa Reine (qui aura théâtralisé ou pas la chose) toucher, caresser ou même branler le sexe d’un autre homme est un passage de cap difficile à réaliser et un vrai acte de soumission, pouvant le conduire – si l’expérience ne s’avérait pas traumatisante – a devoir réorienter partiellement sa sexualité (au moins et toujours pour le plaisir de sa Reine).
Partir rejoindre un amant et savoir qu’à son retour Elle trouvera un homme qui l’aime, la soutient, la comprend, ne discute pas ses besoins, la vénère quoi qu’Elle fasse, lui est fidèle et accepte qu’Elle contrôle sa sexualité : quoi de plus agréable pour une Femme ?
Un air angélique mais le regard provocant pour jauger un interlocuteur mâle et juger, suivant sa réaction, de l’usage qu’Elle pourrait en faire.
" Tu en as fini avec tes activités professionnelles ? Alors déshabille-toi et puisque nous avons un peu de temps devant nous et que je sens que tu as envie de mieux connaitre mes nouvelles bottes, je t’autorise à venir en embrasser chaque centimètre carré en me remerciant de prendre du temps à t’inculquer les valeurs Féminines, à te faire comprendre pourquoi je te suis Supérieure et à te faire admettre qu’il n’y a aucune honte à ce que tu te soumettes à mon Autorité. "
" Tu as vu ma chérie comme c’est amusant de voir un petit mâle soumis se branler devant nous en s’excitant sur l’odeur de l’entrejambe d’une de mes petites culottes à l’état douteux. Quand il aura fini je lui demanderai de venir embrasser tes bottes en te remerciant d’avoir accepter de l’humilier en l’abaissant ainsi devant ta supériorité de Femme. Et tu sais le pire ? Et bien il le fera…"
Si à chaque couple ses règles, l’usage veut qu’en général un chevalier appelle sa Reine Madame en dehors de leur intimité et qu’il la vouvoie. Inversement cette dernière le tutoie et l’appelle par son prénom ou un surnom, ce qui lui permet d’afficher clairement son autorité en public sans pour autant verser dans l’excès.
Ce sont bien évidemment les Femmes, peu habituées à ce genre d’égards, qui seront le plus sensibles à cette pratique, et Elles ne seront pas rares, pour la plus grande gène du chevalier, à adresser un sourire mi amusé mi complice à sa Reine en signe de solidarité Féminine.
Quelle que soit l’heure de la journée, lorsqu’une Reine souhaite recevoir du plaisir de la langue de son chevalier, pas besoin de se changer pour mettre une tenue affriolante ou de passer par la salle de bain auparavant. Il lui suffit de prendre une position confortable et d’exiger qu’il vienne la lécher.
Pour un certain nombre de Reines, la quéquette de leur chevalier est comme un doudou : une chose objectivement inutile mais qui tient sa valeur dans le fait qu’il n’appartient qu’à Elle et que ça la rassure de toujours l’avoir à portée de main.
" Surtout ne crois pas que puisque je n’ai plus 30 ans ma libido est en berne. C’est même tout le contraire et je ne me gênerai pas pour me servir de ta langue ou te faire cocu. Inversement à mon âge l’expérience fait que l’on s’est affranchie de la plupart de ses inhibitions et que l’on ne manque pas d’idées pour abaisser et humilier un homme. Pire pour toi : je prendrai un grand plaisir et n’hésiterai pas à les mettre en pratique pour casser ton ego de mâle, te conduire à être vraiment soumis et te convaincre, sans retour en arrière possible, de la supériorité des Femmes. Je sais maintenant, qu’au delà de ses qualités humaines, je ne pourrais vraiment aimer un homme que s’il acceptait de se livrer totalement à mon autorité. Tu crois que tu pourrais assumer cela et m’aimer malgré tout ? "
" Dis-moi : ta Reine m’a dit que tu avais particulièrement honte de te devoir t’exhiber ainsi nu devant une jeune Femme qui a l’âge de tes enfants. Est-ce vrai ? Malgré ma jeunesse tu me trouves impressionnante, Supérieure ? Tu aimerais que moi aussi je te traite comme un petit garçon ? "
