Un god idéal (ou presque) à attacher sur le menton de son chevalier et qui laisse sa bouche libre et disponible.
Ainsi, suivant la position qu’Elle aura choisie, une Reine pourra profiter non seulement du plaisir de se sentir pénétrée mais également de recevoir en même temps une stimulation clitoridienne ou anale offerte par la langue de son chevalier.
Lorsqu’Elle s’offre ainsi à son regard, un chevalier qui vient d’entrer au service d’une Reine doit oublier ses vieux réflexes et comprendre qu’Elle n’attend pas de lui qu’il la possède (c’est réservé à ses amants) mais qu’il vienne la lécher.
Un T-shirt pour rappeler ses devoirs à son chevalier …
Une jupe à la fois courte et évasée qui permet à une Reine de n’avoir aucun effort à faire pour la soulever et offrir ses fesses aux baisers de son chevalier, voire mieux, si Elle ne portait pas de culotte ou juste un string, son anus à la langue de ce dernier.
Suivant que l’on est Reine ou chevalier, l’association de ses fesses avec d’autres parties du corps de son partenaire est différente.
Suivant la position qu’Elle donne à son bassin et à ses jambes, un chevalier bien dressé sait exactement si sa Reine souhaite qu’il vénère son anus pour reconnaitre son pouvoir ou son intimité pour honorer sa Féminité.
Proverbe D/s anglais sans équivoque.
Pour une Reine, l’expression "faire une sieste crapuleuse" n’a pas la même signification suivant qu’Elle se trouve avec un amant ou avec son chevalier.
Au sens figuré, le lèche cul est une personne prête à s’abaisser devant une autre personne pour obtenir ses faveurs et sa protection.
Lorsqu’un chevalier s’adonne à cette pratique au profit de sa Reine, l’expression linguistique devient linguale mais la signification reste la même, sauf qu’en plus il devra l’en remercier.
Dans un couple traditionnel il est souvent d’usage, lorsque l’un des deux sort, de se faire un petit bisou sur les lèvres en se souhaitant une bonne journée.
Dans un couple Maîtresse/soumis, il n’est pas rare que suivant son humeur une Reine demande à son chevalier de l’embrasser (souvent avec la langue) sur une autre partie de son anatomie, afin qu’il n’oublie pas – le jour durant – combien Elle lui est supérieure.
