La panoplie de soubrette provoque un intérêt partagé par de nombreuses Reines, même quand Elles ne sont pas (ou peu) attirées par le fait de féminiser leur chevalier.
Epilée, portant un bijou qu’Elle a choisi, coincée entre ses bottes et sa cravache, cette quéquette est indubitablement contrôlée par cette Femme ainsi que celui qui la porte qui a accepté de se soumettre à son autorité.
Avant d’agir, et quelles que soient les circonstances, un chevalier doit apprendre à gérer les (parfois longs) moments d’attente qui précèdent les contraintes qu’il va subir ou les ordres qu’il va recevoir.
Ce qui différencie (entre autres) une Reine d’une Femme ordinaire, c’est non seulement le caractère parfois particulier de ses demandes mais également sa manière directe de les formuler.
La possession d’un jardin privatif et discret, d’un chevalier et l’arrivée du printemps, sont parfois l’occasion pour une Reine de reprendre des arrosages bien particuliers.
Lorsqu’une Reine s’installe ainsi c’est généralement qu’Elle attend de son chevalier, qu’avant de se glisser sous sa jupe pour honorer son intimité lors de sa toilette, il commence par vénérer ses bottes et/ou ses pieds.
Même s’il est difficile de trouver pire humiliation pour un chevalier cocu que d’offrir ainsi à sa Reine l’objet de ses désirs (et sa Reine à son amant ! ), c’est aussi une vraie preuve d’amour que de comprendre ses besoins et plutôt que de l’en frustrer, de l’aider à les satisfaire.
Quel Femme n’a jamais rêvé un jour de voir ainsi son mari (ou partenaire) à ses pieds ?
Et combien parmi celles qui s’y sont essayées ont renouvelé l’expérience au point de la rendre récurrente et de les porter au statut de Reines ?