" Regarde-moi bien. Comme ça, tout à l’heure, quand tu cireras mes chaussures la quéquette encagée, tu pourras m’imaginer dans la même position mais sur le lit de mon amant, intégralement nue et offerte, prête à recevoir sa queue et à jouir du plaisir qu’il sait me donner. "
" Désolé mon chéri de devoir réquisitionner ta langue si souvent mais ça doit être le champagne que j’ai bu ce soir qui me donne autant envie de faire pipi. "
" Mon amour, puisque ta quequette est trop petite pour me satisfaire, je t’ai trouvé un vagin de substitution moins doux que le mien mais qui ne sera pas importuné par ta petite taille. En fermant les yeux tu pourras presque croire que tu me fais l’amour au lieu de te branler. Tu aimerais que je te libère pour pouvoir l’essayer ? "
Suivant la position qu’Elle prend ou celle qu’Elle impose à son chevalier, une Reine sait parfaitement lui faire comprendre là où Elle entend recevoir ses baisers.
Avant de passer aux choses sérieuses, le regard nonchalant d’une Reine à l’adresse de son chevalier dans lequel il peut lire : " Tu vois je t’avais dit que je pourrais le faire et bien je le fais ! "
" Ta Reine m’a dit que tu aimerais embrasser mes bottes pour me montrer combien tu m’estimes Supérieure. J’aime beaucoup cette idée, donc vas-y je t’en prie et prouve-moi ta considération; "
Même si Elle est très amoureuse de lui, qu’Elle le respecte socialement et qu’Elle apprécie son intelligence, il est parfois difficile pour une Reine de ne pas rire à la vue du zizi de son chevalier et de se moquer ouvertement de son absence de virilité.
A partir de cet instant Ted fut voué à se soumettre intégralement, à chaque fois qu’Elle lui octroyait la tâche de satisfaire sa Propriétaire, sa Maîtresse Magistrale.
Le plaisir ressenti par une Femme, lorsqu’Elle se fait lécher, est souvent proportionnel à la passion qu’y met l’homme à qui Elle octroie ce privilège.
Même s’il n’a pas à rougir de sa virilité, un chevalier se sent toujours mal à l’aise lorsqu’il doit s’exhiber devant une Amie de sa Reine.
