" Vas-y, secoue ta petite nouille. Moi aussi j’ai mes faiblesses. Si je ne prenais pas autant de plaisir à te savoir honteux quand tu dois te branler devant moi comme un petit garçon, incapable de faire passer sa pudeur avant son plaisir, tu le ferais moins souvent. "
" Récapitulons. Tu comprends que pour être heureuse une Femme puisse avoir besoin de liberté tout en exigeant la fidélité de son partenaire. Tu comprends que pour être rassurée Elle puisse souhaiter le contrôler dans tout ce qui touche à leur intimité et à leur vie de couple. Tu comprends que pour se sentir aimée Elle ait besoin qu’on l’adule et qu’on la vénère, voire qu’on s’abaisse pour lui renvoyer l’image de l’amour inconditionnel qu’on lui porte et de la reconnaissance de la grandeur de sa Féminité. Dois-je en conclure que ton Féminisme assumé te conduit à admettre que je te suis Supérieure ?… C’est bien, je vois que tu es un garçon intelligent. "
Même si Elle n’en a pas besoin pour Elle, faire confirmer par une Amie que la quéquette de son chevalier est lamentable renforce le complexe et l’humiliation de ce dernier, donc sa soumission.
" Autant c’est désagréable pour moi de savoir que je pue parfois des pieds, autant c’est réjouissant de savoir que j’ai ta langue à disposition pour me débarrasser de mes odeurs. "
" Sois une gentille fille et soulève ta robe pour montrer à mon Amie cette cage de chasteté et la petite chose qu’elle enferme qui font qu’aucune Femme ne peut voir en toi une once de virilité. "
" Aurais-tu oublié qu’à la fin c’est mon opinion qui prévaut ? Maintenant, sois un gentil garçon et glisse toi sous le bureau pour venir me demander pardon avec ta langue. "
" Je trouve ça très romantique que tu acceptes ta part de Féminin en portant une de mes culottes quand je te la prête. "
" J’imagine combien ça peut être frustrant de voir ce gode, ou d’imaginer la queue de mes amants, se glisser là où ton zizi de bébé n’ira jamais mais reconnait, qu’à moins de ne pas se respecter, aucune Femme ne se donnerait à un homme en sachant qu’elle n’en tirerait aucun plaisir. Heureusement tu as d’autres talents mon bébé. Viens sucer mon clitoris comme si c’était mon téton pour que mon vagin se contracte autour de ce leurre et qu’à vous deux vous me donniez un magnifique orgasme. "
" Bien sûr que je te fais confiance mais reconnais que la tentation de pouvoir le faire malgré tout rend la frustration liée à ton obéissance plus grande. Avec une cage, plus de choix possible, il te sera totalement impossible de la toucher ou de te branler donc tu ne risques plus d’être tenter de me désobéir, tu n’auras plus de sentiment de culpabilité à cette idée et en libérant ton esprit de cette frustration, tu lui permettras de mieux se concentrer sur la satisfaction de mes propres plaisirs. "
" Honnêtement, tu as tes enfants, moi les miens et nous n’en ferons pas ensemble. A quoi bon faire l’amour alors, puisque je peux trouver des amants bien mieux membrés que toi et que je peux disposer de ta langue à volonté ? Ceci étant dit, tu peux me lécher maintenant. "
