" Finalement c’est toi le plus heureux. Si jamais je ne te donnerai l’occasion de m’offrir une quelconque virilité comme le font épisodiquement mes amants, je t’offre la chance de pouvoir m’offrir ta soumission en léchant mon trou du cul tous les jours de l’année. "
" Si les humiliations sont nécessaires pour casser ce qui te reste d’ego de mâle, il y a une chose dont j’aimerais que tu n’aies jamais honte, c’est d’admettre que je te suis Supérieure. Après, tout te paraitra plus simple et plus naturel. "
Venir se placer sous la robe protectrice de sa Reine et honorer ce qui fait sa Supériorité.
" Oui mon chéri, un homme a joui dans le vagin de ta Femme il y a moins d’une heure. Je lui ai offert ce plaisir que tu ne connaitras jamais même si tu es mon mari. Pourtant je le sais, quand j’écarte ainsi mes jambes à mon retour, tu n’as qu’une envie : celle de venir lécher et vénérer cette chatte par laquelle je t’ai fait cocu pour me prouver ton amour inconditionnel. C’est pour ça que tu seras à tout jamais le seul à qui j’offrirai mon cœur. "
Quand une Reine fait d’une cravache un accessoire de mode et que son chevalier porte son sac pour libérer sa main, nul doute que ceux qui croiseront leur chemin sauront qu’ils sont Maîtresse et soumis.
" L’homme qui voudra vivre avec Moi devra être un lion qui accepte que je le dresse à venir manger dans ma main. "
" Je pense que tu exagères. Après tout ce ne sont que des orgasmes. Ce n’est pas comme si je t’interdisais de respirer, de manger, de boire ou de me lécher. "
" Maintenant que j’ai doigté ton cul pour te prouver ma supériorité, tu vas lécher le mien pour reconnaitre ton infériorité. "
" Tu as juste oublié une chose en me demandant de jouer au jeu de l’infirmière. C’est que malgré son empathie c’est l’infirmière qui sait ce qui est bon pour son patient et qu’elle a un grande latitude pour décider des traitements adaptés à son état, quand bien même il les trouverait désagréables. "
" Si j’étais une Fée, je pourrais claquer des doigts pour que tu aies une grosse bite. Mais comme je n’en suis pas une, et que la tienne est minuscule, tu vas porter une cage de chasteté. "
