" J’ai parié à mon Amie que tu accepterais qu’Elle soit spectatrice lors de ta prochaine branlette dominicale mais j’ai omis de lui dire qu’en cas de refus de ta part, ce serait ceinture pour toi pendant un mois, le temps de réfléchir à une réponse plus appropriée lorsque le problème se reposera. "
" Une Femme ne peut être vraiment sereine que si Elle n’est pas contrariée. A ce titre je cherche un gentil garçon qui saura comprendre que mes souhaits sont des ordres, mes besoins des impératifs et ma place au dessus de la sienne. "
" Je t’avais dit que je t’autoriserai à te branler les dimanches et jours fériés mais si un jour férié tombe un dimanche il y a confusion et pas addition. Maintenant ne te plains pas puisque demain sera aussi férié. "
" Après ça, l’un comme l’autre vous verrez différemment et, quel que soit le lieu ou le moment où vous vous rencontrerez à nouveau, ni l’un ni l’autre n’oubliera jamais ce moment où il a clairement accepté d’admettre ta supériorité. "
" Puisque ton zizi ne connaitra jamais la douceur de mon ventre on peut estimer que la seule manière que tu aies de me faire l’amour c’est avec ta langue, même quand c’est pour me nettoyer. Alors positive, je pense qu’il n’y a jamais une Femme qui t’aurait demandé aussi souvent que moi de lui faire l’amour. "
" Es-tu prêt à me servir ou as-tu d’abord besoin de recevoir une leçon ? "
" Vingt à trente orgasmes pour moi contre un pour toi. Dans le cadre d’une relation comme la notre la proportion me semble très équitable et, puisque c’est moi qui décide, tu devras l’accepter. "
" Tu m’avais promis qu’en signe d’amour et de soumission tu nettoierais de ta langue le sperme déposé par un amant à qui j’aurais fait l’amour sans préservatif. Jamais je ne t’ai dit que cela ne concernerait que mon vagin. "
" Il n’y a pas que l’odeur du cuir qui soit aphrodisiaque. En glissant ta truffe sous ma jupe tu vas découvrir des fragrances encore plus excitantes, tellement plus personnelles que tu n’auras de cesse que de vouloir les respirer, les goûter pour m’en débarrasser avec ta langue, à chaque fois que je l’estimerai nécessaire "
" Si je te fais cocu ce n’est pas à sa queue qu’il faut en vouloir mais à ton zizi. "
