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Piqure de rappel

Le mariage s’il est une officialisation de la relation d’un couple, qui vit le plus souvent depuis longtemps sous le même toit, ne change pas les règles qui le régissent mais il peut être l’occasion pour une Reine de les clarifier au yeux de son chevalier :

  • Marié ou pas, il ne peut s’attendre à consommer ce mariage.
  • Il sera toujours fait cocu mais au moins puisqu’il devient époux cela devient officiel

Branlette humiliante

Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.

Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.

NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.

Température

Avec la parfaite mauvaise foi qui peut la caractériser lorsqu’Elle est taquine, une Reine peut prétendre que son doigt est suffisamment sensible pour servir de thermomètre rectal et ce avec un aplomb d’autant plus imparable qu’effectivement il lui suffira d’annoncer 37 ° à +/- 0.5 ° pour avoir raison dans 99% des cas.

Un chevalier sait néanmoins que, sous ce prétexte métaphorique auquel il ne pourra pas échapper, il s’agit de le conduire à se sentir petit garçon aux mains d’une adulte bienveillante (mais également un peu libidineuse) qui prend soin de sa santé, mais aussi de reconnaitre sa soumission entière en acceptant qu’Elle fouille ainsi une partie de son anatomie qu’un homme garde en général inviolée.