" Pour résumer : Si je te demandais de te mettre nu et à genoux devant moi tu te sentirais humilié mais tu le ferais pour ne pas me déplaire et risquer de ne plus me voir ? C’est donc que pour me séduire tu es prêt à ne pas contester le pouvoir que je pourrais exercer sur toi ? Même celui de t’humilier. J’aime ta façon de raisonner qui me prouve que tu as compris que je t’étais Supérieure. "
Lorsqu’Elle joue à la fermière avec son chevalier, une Reine se contente souvent d’une seule traite par semaine.
" C’est un cadeau pour nous deux, de la part de mon amant, pour s’excuser de me détourner de mes devoirs d’épouse lorsque je suis avec lui plutôt qu’avec toi. A déguster aussi, mais uniquement à ton attention, il a laissé un cadeau à l’intérieur de mon vagin. "
Apprendre que, quand Elle avance ainsi son pied, c’est qu’Elle attend de lui qu’il vienne y déposer des baisers.
" Tu n’as pas besoin de savoir qui tu honores, si ce n’est que C’est une Amie qui voulait constater ton degré d’obéissance et ta capacité à bien lécher une Dame en suivant ses directives à la lettre. "
" Si j’ai gardé mon manteau pour m’asseoir c’est juste parce que tu as oublié de m’aider à l’ôter comme je t’avais dit que tu devrais le faire à chaque fois que je viendrais chez toi. Puisqu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud, viens t’allonger cul nu sur mes genoux. Je pense qu’une fessée t’aidera à ne pas l’oublier la prochaine fois. "
Pour un chevalier, le port d’un de ces objets entraine souvent le port de l’autre (et réciproquement comme eut dit Pierre Dac)
Le faire jouir dans sa culotte et la lui faire porter juste après pour qu’il comprenne ce que peut ressentir sa Reine lorsqu’Elle revient de chez certains de ses amants.
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" Maintenant que tu t’es bien reposé en assistant au spectacle, à toi de travailler en me faisant jouir avec ta langue. "
Dans une soirée libertine, montrer qu’ils sont en couple en portant la même tenue, à un détail près.
