" Sous ma robe se trouve l’autel sacré de ma Féminité qui me confère Autorité et Pouvoir sur toi. A ce titre tu devras le vénérer, l’adorer et le servir, sans réserve, avec ta langue à chaque fois que je te l’ordonnerai. Me suis-je bien faite comprendre ? "
" Tu sais que rien ne m’apaise plus que ta langue après le stress d’une journée de travail. Alors soit un gentil garçon et viens m’apaiser. "
" Ce que j’ai fait cette après-midi devrait être tout à fait clair pour toi maintenant. "
Passer méticuleusement entre chacun des orteils de sa Reine pour la détendre et la débarrasser des odeurs et impuretés qu’ils recèlent.
Une coupe, remplie de crème chez son amant et (dé)livrée à la dégustation de son mari dans l’heure qui suit.
" Ce n’est pas parce que j’ai trainé en buvant un pot avec mes copines que je n’ai pas pensé à toi. La preuve, je leur ai dit à quel point les qualités d’accueil que je t’avais enseignées me rendaient impatiente de rentrer à la maison. "
" Toi qui vis dans une région de moules, j’espère que tu les aimes gouteuses, parce que, rien que pour le savoir, je ne me suis pas essuyée de la journée. "
" Porter ceci pendant que tu nettoieras mon intimité avec ta langue fera de toi un vrai raton laveur. "
" Savais-tu, à l’inverse des vampires qui se nourrissent du sang de leurs victimes, qu’une sorcière peut, à certaines périodes, offrir celui de son calice en breuvage à sa proie et qu’Elle attend de celui qui est son élu que, plutôt que se rebeller, il l’accepte comme un philtre d’amour dont Elle l’honore ? "
Le sourire satisfait de Celle qui a dressé son chevalier à obéir et satisfaire les moindres désirs de sa Reine, qu’importe le moment, sans plus penser aux siens.
