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Martinet de quéquette

Recevoir sur sa quéquette de (petits) coups d’un martinet prévu à cet effet (lanières courtes et souples) est pour un chevalier moins douloureux qu’humiliant.

Ce pourrait même être considéré comme la mise à mal ultime de sa virilité puisque ce qui est traditionnellement considéré comme symbole de la force (et du pouvoir) d’un homme se retrouve objet vulnérable (et méprisable) corrigé par une Femme qui affirme ainsi clairement une autorité devenue totale.

Enfin, accepter la dévalorisation, les humiliations et ici la douleur infligées à ses parties génitales ne peut que rehausser chez un homme le sentiment que c’est la vulve de sa Maitresse, son bien-être et ses plaisirs, qui est au sommet de tout dans leur relation.

La Reine et le petit garçon

Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.

Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.

La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).

NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.

Conditionnement par la fessée

Si la fessée peut être un moment ludique pour une Reine, c’est aussi un moyen de conditionner son chevalier à accepter de se sentir dans la peau d’un petit garçon face à Elle et donc de lui obéir et de la respecter. En effet, c’est moins la douleur des coups, que la situation humiliante dans laquelle il se retrouve ainsi qui est cuisante pour lui.