Pour Reine couturière (et un peu taquine) cette esquisse de robe de balles pour quéquette de chevalier.
Si toutes les Femmes qui portent du cuir ne sont pas dominantes, force est de constater que les Dominantes en portent plus que la moyenne (et ce au moins autant par plaisir que pour affirmer leur autorité).
Ainsi, plus la penderie d’une Femme contient de vêtements de cuir, plus on a de raisons de penser qu’Elle est Reine (et qu’Elle a besoins d’un chevalier pour les entretenir !..).
Un dessin pour illustrer la toilette intime que procure son chevalier à une Reine à une période particulière du mois pour Elle.
Un dessin, car si les règles ne sont ni moins naturelles ni plus dangereuses que tout autre fluide sécrété par sa vulve, le sujet reste néanmoins tabou pour de nombreuses Femmes et leur opinion très tranchée lorsqu’on l’aborde.
Pour certaines dominantes l’idée de les faire nettoyer (partiellement ou totalement) par leur soumis est très excitante parce ces dernières correspondent souvent avec un pic de libido et qu’Elles voient là également un moyen d’affirmer pleinement leur supériorité Féminine. Pour les autres, l’idée même d’y penser est particulièrement horrifiante.
A chacune sa vérité et au soumis de s’adapter.
Par définition, une Reine qui fait cocu son chevalier ne le trompe pas, puisqu’il est – normalement – tenu au courant de ses aventures et que cela fait partie de règles régissant leur relation, qu’il a acceptées.
Néanmoins, séduire un homme, voire une Femme (ou accepter de rentrer dans le jeu de la séduction qu’il lui propose) et ce à la vue de son chevalier, peut créer une excitation supplémentaire chez une Reine et ce d’autant plusqu’elle ressentira chez ce dernier l’humiliation de devoir assister passif à la scène.
Même novice, un chevalier lorsque sa Reine lui demande de s’agenouiller et se place ainsi devant lui, comprend qu’il doit embrasser ses fesses.
Une fois éduqué, il saura aussi que lorsque la matière si prête elle pourrait parfois préférer qu’il lèche sa jupe afin qu’Elle sente sa langue sans avoir le désagrément de sentir sa peau humide.
En signe d’humilité et d’obédience un chevalier doit – dès que sa Reine le souhaite – accepter de dévoiler son corps mais aussi son esprit.