Un moyen comme un autre de faire passer la "pilule" de ses sorties solitaires, tout en partageant avec lui ses émotions et son excitation, consiste pour une Reine, lors de ses retours de soirées, à branler son chevalier en lui racontant dans le détail leur menu et les plaisirs qu’Elle en a retiré.
Déjà que chez certains couples une paire de bottes l’emporte sur une paire de couilles, quand il y en a deux on frise le KO.
A la différence du vin blanc qui se boit généralement frais, l’urine d’une Reine doit se consommer à la température de son corps, c’est à dire rapidement, pour éviter les désagréments liés à la dégradation de l’ammoniaque qu’elle contient.
Ce n’est pas parce qu’une Reine s’apprête à sortir sans son chevalier qu’Elle ne souhaite pas sa présence lorsqu’Elle s’y prépare (et c’est même souvent tout le contraire).
A bien y réfléchir : vaut-il mieux être le chevalier cocu d’une Reine par ailleurs idéale ou rester seul en la rêvant fidèle ?
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Pour un chevalier amoureux (et bien dressé), la barrière que constituent une culotte et un collant est aussi frustrante que pour un amant.
Puisque l’intelligence et la subtilité l’emportent toujours sur la force, une Femme qui le désire vraiment saura mettre un homme un homme à ses pieds.
Dans l’idéal (pour que la relation soit pérenne) une Reine sait distinguer amour et sexualité notamment lorsqu’Elle a des amants. Requérir la présence de son chevalier lorsqu’Elle est avec l’un de ceux-ci peut être un moyen de l’humilier mais aussi l’occasion de le rassurer sur ses sentiments, quand bien même Elle aurait le sexe d’un autre homme dans son ventre.
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Comme le feu, une Reine tient sa force de son esprit, de son âme, de son aura…
Il n’y a pas de conflit de générations entre Reines. Si leurs tenues, leurs attentes et leurs méthodes peuvent différer, Elles sont unies par le même sentiment de supériorité sur les hommes que leur confère leur Féminité.
