Dès l’antiquité, les Reines égyptiennes avaient compris que des hommes de conditions inférieurs pouvaient, grâce à un bon dressage et la frustration liée à leur chasteté, être des auxiliaires de vie parfaits en s’acquittant de tâches que rechignaient à pratiquer leurs amants ou leurs servantes.
Etre tendre avec son chevalier, tout en le plaçant en état d’infériorité, c’est pour une Reine le moyen de lui rappeler que, quelques soient les circonstances, les preuves d’amour qu’Elle lui donne ne doivent pas être interprétées comme des signes de faiblesse.
Suivant ses possibilités et notamment le degré d’intimité qui l’unit à certaines de ses amies, une Reine ne devrait pas hésiter à faire du prosélytisme pour leur faire découvrir l’intérêt et le plaisir qu’une Femme peut avoir lorsqu’Elle possède un chevalier bien dressé.
" Petit pervers : ça t’excite de voir une Femme pisser ?… Moi ce qui m’excite c’est de savoir que dans moins de 30 secondes c’est ta langue qui va me servir à m’essuyer ! "
Image symbolique d’une relation idéale dédiée à la suprématie Féminine, où l’homme accepte volontairement d’être contrôlé dans ses actes, sa parole et sa sexualité par le pouvoir Féminin parce qu’il aura eu la chance de rencontrer une Femme à l’autorité naturelle qui aura su le guider et le dresser à lui obéir et grandir dans la soumission qu’Elle attend de lui, par amour pour Elle.
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Quoi de plus enivrant pour un chevalier que les odeurs recélées par le fond de culotte de sa Reine après une journée bien remplie ?
" Le cuir de mes bottines est trop épais où c’est ton zizi qui est trop petit pour que je ne sente rien entre tes jambes ? "
Toutes les Reines – ou presque – possèdent une ou plusieurs tenues qui font que, quand Elle apparaissent les portant, leur chevalier comprend instantanément qu’il doit tout abandonner pour se dévêtir et venir se placer à leurs pieds.
Petit florilège – sous forme d’un feu d’artifice d’images – pour fêter dignement le 14 juillet.
Accrocher à la poignée de la porte de sa chambre sa petite culotte pour signifier à son chevalier qu’Elle n’est pas seule et qu’Elle souhaite ne pas être dérangée, dénote chez une Reine sa finesse d’esprit mais aussi son côté taquin.
S’il est normalement du devoir d’un chevalier de procéder à la toilette intime de sa Reine avec sa langue, cette dernière peut parfois – en échange – nettoyer ses parties génitales en utilisant Elle aussi une partie de son corps, ou plus exactement ce qui provient de son corps, et en lui offrant une douche à parfaite température et légèrement parfumée qui le marquera de son empreinte discrète et très personnelle tout au long de la journée.
Bien sûr, malgré le côté humiliant de cette douche d’urine, le chevalier ne devra pas oublier – règle n°3 – de remercier sa Reine de prendre ainsi soin de la propreté de sa quéquette et il n’oubliera pas en retour de la lécher pour qu’Elle soit parfaitement propre une fois sa miction opérée.
