" Allons ne fait pas ton timide. C’est bien toi qui un jour m’a dit que tout ce que pouvait faire une Femme, un homme pouvait le faire en mieux. Assume maintenant ! "
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Démonstration d’expertise
Une Reine peut convier son chevalier à ses ébats avec un amant pour de multiples raisons dont celle de lui montrer que ce n’est pas parce qu’Elle lui refuse certains privilèges qu’Elle est en manque d’expertise ou d’appétence concernant ces derniers.
Anti-conformisme
Ayant suffisamment d’estime pour Elle, une Reine peut se permettre, en compagnie de certaines personnes, d’avoir un comportement qui n’a rien de "royal".
Son chevalier doit non seulement l’accepter mais également bien comprendre que ces attitudes sont réservées à d’autres et ne sauraient remettre en cause l’autorité qu’Elle exerce sur lui.
Entrain
Il est toujours difficile et frustrant pour un chevalier de constater combien sa Reine peut mettre d’entrain à sucer un autre homme, et ce surtout quand Elle lui refuse ce privilège.
Amant(s)
Lorsqu’une Femme mariée passe ainsi un moment avec deux hommes, l’un des deux est forcement un amant.
Lorsque de plus Elle est Reine, il n’est pas rare que les deux le soient.
Pas si vertueuses
Il est certaines Femmes dont l’entourage serait étonné d’apprendre que si Elles aiment pratiquer la fellation avant de faire l’amour, les queues qu’Elles sucent sont rarement (ou jamais) celles de leur mari.
Reine à genoux
Il est souvent difficile pour un chevalier de constater que dans certaines circonstances sa Reine peut – Elle aussi – se mettre à genoux devant une autre personne.
Préliminaires à trois
Quand son amant n’est pas fan de préliminaires et que son chevalier est sur place, une Reine peut lui faire comprendre avec grâce qu’Elle attend de lui qu’il se substitue au premier pour accomplir cette tâche.
Rêverie
Une image qui fera rêver beaucoup d’hommes et plus particulièrement les chevaliers à qui leur Reine refuse ce genre de gâterie.
Fiction
Fiction et frustration pour de nombreux chevaliers qui savent que leur Reine n’accorde un tel privilège qu’à ses amants.
