Pour un chevalier comme pour un petit garçon il est des gourmandises dont ils ne sauraient se passer.
Preuve s’il en était besoin que dans tout chevalier sommeille un petit garçon dont les talents pourront être développés par certaines Reines.
De retour chez Elle, il n’est pas rare que la première chose que fasse une Reine – parfois après un pipi où Elle n’aurait pas besoin de prendre la peine de s’essuyer – soit d’offrir son intimité à la langue de son chevalier, afin qu’il lui prodigue une toilette à la fois nécessaire mais également roborative.
Puisqu’on ne perd pas grand chose à écouter un journal télévisé plutôt qu’à le regarder, procéder à la toilette intime de sa Reine pendant sa diffusion permet à un chevalier d’avoir l’essentiel des informations du jour tout en se consacrant à sa tâche essentielle, à savoir être responsable du bien être de cette dernière.
Où il est démontré que si une Reine peut parfois s’amuser à traiter son chevalier comme s’il était un chien, c’est parce que ce dernier a parfois naturellement (surtout lorsqu’il est bien dressé) un comportement de chien.
Il n’est pas rare (même s’il ne faut pas généraliser) qu’au fil du temps qui passe, une Femme devienne de plus en plus attirée par l’idée d’une expérience bi(sexuelle).
Dans un couple traditionnel, les règles de la fidélité font que cette attirance reste à l’état de fantasme, souvent piquant mais aussi générateur de la frustration de ne pouvoir essayer de découvrir d’autres sensations.
Inversement lorsqu’une Femme est une Reine qui estime que le cocufiage de son chevalier est normal, il ne saurait y avoir de frein (ni d’obligation non plus) pour passer à l’acte si l’occasion se présentait.
Dans ce dernier cas, que l’expérience soit pour Elle enrichissante, et qu’Elle souhaite la renouveler, ou décevante, Elle aura pu aller au bout de ses envies, sans être ni freinée ni jugée par son partenaire / chevalier, pour qui la liberté sexuelle de sa Reine est une évidence.