Pour un chevalier amoureux (et bien dressé), la barrière que constituent une culotte et un collant est aussi frustrante que pour un amant.
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Honneur et devoir
Au fur et à mesure que la relation d’une Reine et d’un chevalier s’installe, ce qui n’était initialement qu’un honneur devient rapidement et avant tout un devoir.
Travail
Sans préjuger des causes, la simple vue de la culotte de sa Reine suffit parfois à un chevalier pour mesurer le travail à effectuer lorsqu’il devra lécher son intimité pour la nettoyer.
Périodes
Sans vouloir rentrer dans des détails que certaines (ou certains) pourraient juger scabreux, il n’en est pas moins vrai qu’il existe des périodes où une Reine – comme toute Femme – attend encore plus d’affection, d’empathie, de tendresse et d’amour de la part de son chevalier.
Instinctif
Au fur et à mesure de l’évolution de leur couple et du conditionnement de son chevalier, les choses deviennent naturelles et il devient instinctif pour ce dernier d’honorer sa Reine tout en satisfaisant aux besoins de sa Féminité.
La bonne place
Quel que soit sa nature, ce qui compte pour l’équilibre et la pérennité d’un couple, c’est que chacun soit à la place qui convient le mieux aux deux.
Egoïstes et paresseux
La plupart des hommes sont par nature égoïste et paresseux. Tous les maris devraient être éduqués à donner du plaisir à leur Femme et les chevaliers à en faire leur priorité
Sourire satisfait d’une Reine
Le sourire de Celle qui n’a pas besoin de passer par la salle de bain avant de demander, quémander, attendre le bon vouloir de son partenaire quand Elle souhaite se faire lécher mais, qui au contraire, sait qu’Elle a à sa disposition une langue bien éduquée, avide de la servir et toujours disponible à l’instant où Elle en exprime le désir ou le besoin.
Pleine nature
Quand Elle sait qu’Elle pourra utiliser la langue de son chevalier juste après, une Reine hésite moins à profiter, comme un homme, du plaisir – très masculin – d’uriner en pleine nature.
Directe
Ce qui différencie (entre autres) une Reine d’une Femme ordinaire, c’est non seulement le caractère parfois particulier de ses demandes mais également sa manière directe de les formuler.
