Archives du mot-clé Cuir

Faire faire des choses

" J’ai envie de te faire faire des choses bizarres, perverses, humiliantes et dégradantes pour jouir pleinement de la Supériorité que tu me reconnais et de l’Autorité que tu as souhaité que j’exerce sur toi. Mais avant, sois franc et dis-moi que toi aussi tu en as envie."

Mettre du temps

" Tu as mis du temps à me remarquer alors que moi j’ai tout de suite su qu’un jour je te ferais ramper à mes pieds. Ca prouve bien que je suis plus intelligente, perspicace, psychologue, compétente, irrésistible que toi et tu ne baiseras jamais assez mes bottes pour reconnaitre ma Supériorité. Tu peux néanmoins commencer. "

Etre petit garçon

" Pourquoi, à mon age, aider un homme qui doute de sa virilité à devenir plus viril au risque de le rendre machiste et de le voir m’abandonner pour une Femme plus jeune, une fois qu’il n’aura plus besoin de moi ? Au contraire, en renforçant son complexe je l’amènerai à se sentir petit garçon face à mon autorité Maternelle et à redevenir plus respectueux, plus prévenant et plus obéissant qu’il ne l’est devenu en grandissant. Mieux en le rendant dépendant, non seulement je ne risquerai pas d’être abandonnée mais la peur changera de camp et c’est lui qui sera prêt à tout faire pour ne pas l’être. Enfin à la lecture de ton blog et de nos échanges par mails où tu m’as volontairement laissée prendre l’ascendant sur toi, je sais que non seulement tu es ce type d’homme mais que même si tu sais que je casserai ton ego de mâle par intérêt mais aussi par plaisir, tu meures d’envie d’être ce petit garçon. Demande-le moi et qui sait ? "

Conséquences sur l’ego

" Quand Elle devient Reine, la vie d’une Femme change moins que celle de son chevalier et ce n’est pas à Elle mais à lui de faire des concessions. Ainsi, celui qui sera mon élu devra admettre que je continue à porter ma chaîne de cheville, quels que soient les conséquences sur son ego. "

Dispense

" Ce n’est pas le sceptre qui me fait Reine mais le pouvoir que tu m’as accordé qui m’autorise aujourd’hui à te prendre comme vassal. Néanmoins, puisque nous sommes en république et qu’il faut vivre avec son temps, je te dispense de m’appeler Votre Altesse Sérénissime et de faire la révérence pour me saluer ou me signifier ton obédience. Tu pourras te contenter à la place de m’appeler Maîtresse et de baiser mes pieds avec respect. Tu peux commencer tout de suite. "