Cette Reine porte un serre-tête avec ce que l’on pourrait imaginer être des oreilles de biche.
Est ce par taquinerie ou pour marquer sa solidarité avec son chevalier qui porte des cornes moins visibles mais bien réelles ?
Que ce soit pour sentir la douce caresse d’une langue sur sa cheville ou son mollet à travers sa botte ou s’en servir pour en faire briller le vinyle, une Maîtresse doit dans un premier temps éduquer son soumis à apprendre à acquérir les bons réflexes et comprendre les bons gestes.
Lorsqu’une Reine branle son chevalier, Elle peut tout obtenir de lui, notamment des aveux qu’il n’aurait sans doute pas prononcés en dehors de cette (douce) torture.
Un exemple (parmi d’autres) serait de lui dire :
Emporté par l’excitation et de peur que sa Reine n’arrête de le branler si Elle n’obtenait pas la réponse attendue, celui-ci répondra oui à toutes les questions (même s’il n’en est pas fondamentalement convaincu) pour finalement reconnaitre qu’il aime être cocu.
Forte de ces aveux – et quelles que soient les raisons qui par ailleurs la pousse à le faire cocu – Elle pourra plus tard lui rappeler qu’après tout c’est lui qui est demandeur et qu’il est donc – au moins partiellement – responsable de cet état de fait dont il devrait se louer et non se plaindre.