" Si tu devines dans quelle main se trouve la clé de ta cage de chasteté, lorsque je rentrerai tu pourras te branler pendant que je te raconterai ma soirée. Dans le cas contraire, je te raconterai quand même ma soirée mais tu ne pourras te branler que demain. "
" Tu savais bien que dans mon esprit un chevalier ne devait pas être l’amant de sa Reine. C’est un fait historique. Maintenant, là aussi l’histoire l’a prouvé, rien n’empêche une Reine d’avoir des amants. Tu m’as voulu Reine donc tu dois accepter que j’ai des amants. "
" Je suis belle, désirable et j’ai une libido développée. Tu as un micro pénis et 15 ans de plus que moi. Si tu exceptes le fait que l’on puisse vivre dans un monde de bisounours, as-tu une bonne raison qui pourrait justifier que tu ne serais pas cocu même si nous vivions ensemble ? "
" Il a beau avoir un petit zizi et porter une cage de chasteté, il peut être très utile. Tu veux que je l’appelle et que je te prête sa langue pour une délicieuse toilette intime avant d’entamer notre journée ? "
" Qu’est ce qui te frustre le plus ? Savoir que cette clé ne te délivrera pas de ta cage de chasteté ce soir ou voir le sperme d’un autre homme s’écouler de mon vagin ? "
" Oui mon mari est là mais il a une toute petite bite et il sait que je le fais régulièrement cocu. "
" Bien sûr que tu vas me lécher, comme tu le fais tous les soirs. La vraie question est : est-ce qu’il a mis où pas un préservatif ? "
" Bien sûr que je t’aime. Sinon pourquoi serais-tu là à nous regarder ? "
" Je sais, je risque d’avoir un peu chaud avec cette robe en cuir mais, si tout le monde n’a pas besoin de tout connaitre sur notre relation, je veux que chacun comprenne que je suis la Dominante dans notre couple. Et puis je pourrai la réutiliser cet automne pour séduire des amants potentiels. Je trouve très excitant l’idée que ma robe de mariée qui symbolise aujourd’hui notre union puisse, également dans le futur, devenir le symbole de ton cocufiage. "
Chercher dans le regard de son chevalier l’extrême frustration et la jalousie de la voir s’apprêter à faire jouir dans sa bouche le sexe d’un autre homme, à peine plus long que le sien mais justement parce qu’il est plus long, alors qu’elle ne lui offrira jamais mieux que sa main.