" Déjà là ? Oui bien sûr tu peux rentrer mon chéri. On parlait justement de toi. Je disais à mon Amie que tu avais une toute petite bite que j’avais enfermé dans une cage de chasteté et que je te faisais cocu pour cette raison. Rien de bien secret qui justifierait que tu nous laisses seules. "
" Non, tu n’as pas rêvé, c’est bien une notice de boite de préservatifs que je n’ai pas jetée après son départ, histoire que tu n’aies aucun doute sur la teneur de mon après-midi. Maintenant, rapport protégé ou pas, tu sais qu’après j’ai toujours envie de ta langue et de t’entendre dire combien tu es heureux de savoir que d’autres hommes savent me donner un plaisir que tu ne me donneras jamais. "
Ouvrir discrètement la porte de la salle de bains pour constater qu’il lui reste encore un peu de temps avant de servir le petit déjeuner.
" A part par pur masochisme intellectuel, crois-tu qu’il était vraiment nécessaire de me demander s’il en a une plus grosse que la tienne ? "
Sur un même plan, ce qui l’unit à son amant et ce qui l’unit à son chevalier et la promesse, pour lui, s’il la lèche de le libérer provisoirement de sa cage, le temps d’une branlette.
" Au lieu de te plaindre d’être cocu, pense que je ne leur offre que le corporel, ma bouche et mon ventre, alors qu’à toi j’offre le spirituel, la possibilité de pouvoir me vénérer. "
" Tu me prends pour qui ? Bien sûr que j’ai mis une culotte ce matin avant de partir travailler. Puisque tu es si curieux, viens donc embrasser mon minou avec ta langue et je pourrais te dire pourquoi je ne l’ai plus. "
" Tu connais la règle mon chéri. Seul celui qui a la plus grosse mérite mon attention et mes faveurs et, comme toujours, ce n’est pas toi. Peut-être une prochaine fois ? "
" Que ce soient pour la longueur ou la circonférence tu as échoué lamentablement aux tests de virilité qui font qu’un homme puisse espérer donner du plaisir à une Femme en la pénétrant. Tu comprendras donc que même lorsque nous serons mariés tu ne pourras prétendre à me faire l’amour avec pour conséquence, pour que je ne sois pas lésée, que tu deviennes cocu ou divorcé avec les tords à ta charge pour incapacité à assumer ton devoir conjugal. "
En toute transparence, lui donner un avant-goût de ce qu’Elle peut parfois offrir à d’autres mais qu’il n’aura jamais.
