En partie double, que tout chevalier chaste et cocu pourrait tenir.
Le chiffre 0 restant éternel, seul le nombre de bâtons changerait en fonction de l’ancienneté de sa relation avec sa Reine et des besoins de cette dernière.
Lorsqu’après avoir fait l’amour à un amant, une Reine offre à son chevalier son intimité à nettoyer, ce dernier s’il est bien dressé, qu’Elle offre à sa langue sa cyprine ou du sperme, fera passer son humiliation derrière l’avidité qu’il aura à accomplir une tâche pour laquelle il aura été conditionné.
Photo – ou scène vécue – pour confirmer à son chevalier que cette Reine ne saurait prendre d’amant dont la taille du sexe serait inférieure à celle d’un de ses plus petits gods donc – généralement – largement supérieure à sa quéquette à lui.
A moins que ce ne soit pour lui faire comprendre qu’après lui avoir appris à sucer un god, Elle attend maintenant plus de lui.