Peu de chance que cette Reine montre cette photo à son chevalier, non pas qu’Elle ait honte de ce qu’Elle a fait mais juste parce que son maquillage a coulé et qu’Elle estime que la photo est ratée.
Tout chevalier rêve que sa Reine lui fasse une fellation ou au pire des bécots appuyés sur son gland. Malheureusement c’est rarement la cas et beaucoup doivent se contenter d’imaginer cette caresse réservée à ses amants.
Il n’est pas rare qu’une Reine qui fait son chevalier cocu lui interdise ce qu’Elle accepte de ses amants à savoir le droit de la pénétrer.
Ce n’est pas une raison pour Elle d’oublier les besoins de ce dernier et de ne pas stimuler parfois son zizi par des caresses affectueuses.
Au contraire même, puisqu’en l’absence de pénétrations (et de fellations) elles se situent – juste après la branlette – à l’avant dernière étape sur l’échelle du plaisir qu’il peut recevoir de la part de sa Reine et qu’à ce titre, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elles ont beaucoup plus de valeurs que lorsqu’elles sont pratiquées dans le cadre d’une relation traditionnelle.
Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.
En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.
La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.
Qu’Elles soient adeptes ou non de gymnastique, pratiquer ainsi la barre fixe est un rêve pour beaucoup de Reine.
Que ce soit en début de soirée alors qu’Elle a encore sa robe, ou plus tard dans la nuit, une Reine n’offre son sexe à fouiller qu’aux mains de son amant. Son chevalier n’a le droit – lui – que d’utiliser ses lèvres ou sa langue.