Ce n’est pas parce qu’une Reine peut parfois préférer la compagnie d’une amante à celle d’un amant que son chevalier n’en est pas moins cocu.
Quel que soit l’amour qu’Elle porte à son chevalier, une Reine a le plus souvent besoin de pluralité sexuelle pour assouvir ses envies et sa soif de liberté.
Femme des temps modernes, Elle sait ne pas mélanger les genres et considérer ses amants comme des objets avant tout destinés à son propre plaisir.
En se mariant, une Reine ne perd – fort heureusement – pas sa liberté. Au contraire Elle va voir son champs s’agrandir. En effet en s’assurant de "posséder" un chevalier qu’Elle contrôle, qui la respecte, lui obéit et la vénère, Elle n’a plus la pression de rechercher chez un amant l’âme sœur et peut se contenter de privilégier la recherche du plaisir physique à travers des rencontres toujours de qualité mais parfois plus courtes ou avec des hommes mariés sans être frustrée de les savoir non libres.
Quelles que soient les raisons qui conduisent une Reine à souhaiter, lorsqu’Elle est avec son amant, la présence de son chevalier, placer la bouche de ce dernier sous son intimité lui assure un réceptacle pour nettoyer la semence qui sera déposée (avec toutes les précautions d’usage) dans son ventre.
Que ce soit de manière cassante (tu as vraiment un zizi de cocu) ou tendre (j’adore savoir que tu as une quéquette de petit garçon), déstabiliser un chevalier en se moquant de la taille de son pénis et en lui déniant toute forme de virilité (sexuelle), le conduira à se sentir complexé, vulnérable, plus soumis et totalement perméable à l’idée qu’il doit céder à l’autorité Féminine de sa Reine.