" Mea culpa mon chéri. J’ai beau être Féministe j’ai peur d’avoir gardé une partie du réflexe, conditionné par des siècles de patriarcat, qui veut qu’une Femme voit l’homme qu’Elle aime plus beau qu’il n’est en réalité. Du coup j’ai commandé une cage de chasteté bien trop grande pour la taille de ton zizi mais rassure-toi, en rectifiant la donne, je devrais en recevoir une nouvelle, dans moins d’une semaine, qui sera bien plus adaptée à ta morphologie."
" As-tu déjà entendu parler du locktober ? C’est la contraction de deux mots anglais, lock et october et ça veut dire enfermer à clé en octobre. C’est un concept récent venu d’outre-atlantique destiné à des couples comme le notre où c’est la Femme qui détient la clé du cadenas de la cage de chasteté que porte son partenaire. Le principe est le même que celui du Carême, mais à date fixe et pour une période d’un mois, où un homme doit faire preuve d’abstinence pour honorer son Dieu même si en l’occurrence il s’agit là d’une Déesse. Tu connais mon goût pour la nouveauté et la satisfaction que j’éprouve à me sentir Déesse à tes yeux et j’ai donc décidé que ce locktober s’appliquera aussi à nous. Je t’encourage donc à bien profiter de ta branlette de ce soir parce que ce sera la dernière avant novembre. "
" Mon pauvre chéri, j’imagine combien ça peut être humiliant et frustrant d’être avec une si jolie Femme, sans pouvoir lui faire l’amour parce que tu as une toute petite bite et que c’est aussi insatisfaisant pour toi que ça l’est pour moi. Pour ne pas risquer de nous perdre pourquoi ne pas envisager une relation moins traditionnelle où je t’apprendrais à ce que ton plus grand plaisir devienne celui de te mettre au service des miens ? Je sais que les hommes qui ont un zizi de petit garçon aiment souvent qu’on les contrôle comme des petits garçons et je crois que, si tu as eu honte de me l’avouer, c’est ton cas. Je me trompe ? Tu vois je suis déjà dans le rôle de l’adulte qui t’aide à découvrir ta vraie nature. Je sais que ma Féminité et ton absence de virilité me rendent Supérieure à tes yeux. Aimerais-tu que je te contrôle, que je te dirige, que je décide pour toi dans une relation où tu n’aurais plus à penser mais juste à m’obéir, m’admirer, me vénérer et à servir mes désirs et où, en échange de ta soumission, tu aurais la liberté de continuer à vivre auprès de moi ? A voir l’état de ce petit zizi tout dur, je jurerais que oui. "
" Tu es jaloux que je me fasse belle pour mon gode ? Mais après tout il me baise, lui, et pas toi. Non ? "
" Tu ne pourras pas dire que je ne suis pas un Amour. Comme je sais combien c’est difficile pour un homme de gérer ses pulsions masturbatoires quand il a un pic de libido, au risque de se sentir coupable d’en manquer lorsqu’il doit satisfaire sa partenaire, je vais te décharger de ce problème et m’en occuper moi-même. "
" Souris mon chéri. Je sais que c’est très humiliant pour toi mais c’est ce qui fait mon bonheur : Savoir que tu m’aimes assez pour accepter, alors que tu ne me feras jamais l’amour, de nettoyer ainsi le sperme de ceux qui me le font. "
" Ca c’est la petite chose de mon chéri enfermée dans sa cage de chasteté. Non seulement il sait qu’il ne me fera jamais l’amour et que j’ai des amants mais en plus il ne peut même pas se branler sans mon autorisation. Du coup il est bien plus respectueux, n’ose plus me contredire et obéit comme un gentil toutou bien dressé dans l’espoir que je lui accorde parfois cette faveur. "
" Ne rêve pas. Nous ne sommes pas encore au point où – sous certaines conditions – tu pourras te branler dans ce sexe Féminin de substitution réservé aux hommes qui n’ont pas accès à un vrai vagin. Pour l’instant il va te servir de sparring partner quotidien pour muscler ta langue afin qu’elle soit assez agile et résistante à chaque fois que je la solliciterai. "
" Non je ne changerai pas d’avis et j’ai horreur des petits garçons capricieux et égoïstes. Quand nous avons évoqué la cage de chasteté tu avais convenu qu’une branlette par semaine serait suffisante et que la faire le dimanche soir te permettrait d’être au pic de ta libido en fin de semaine, lorsque nous passons le plus de temps ensemble. Nous ne sommes que jeudi et monsieur a déjà du mal à gérer sa frustration ? Je te rappelle accessoirement que c’est le but ; que ton excitation soit au profit exclusif de mes besoins. Je te conseille donc d’être patient, le temps que ton corps s’adapte à ce nouveau rythme, sinon je pourrais bien sortir ma cravache pour calmer les ardeurs de ta petite nouille afin de nous éviter à nouveau ce genre de conversation. Maintenant, revenons aux fondamentaux, j’ai sommeil et j’ai besoin de ta langue avant d’aller dormir. "
" Tu les sens pleines ? Courage, plus que 2 jours avant que tu puisses te branler. Maintenant, pour oublier ta frustration, tu ne penses pas que tu devrais t’occuper de ma satisfaction ? "
