Quand une Reine masturbe son amant ça commence comme ça :
et ça finit comme ça :
Quand Elle branle son chevalier ça finit souvent au mieux comme ça :
Si une Reine peut souhaiter avoir un chevalier à l’apparence très masculine en public, que ce soit pour l’esthétique mais aussi pour son aura (Il est plus valorisant vis à vis de tiers) elle a tout intérêt à casse son ego de mâle à l’intérieur de leur relation.
La parole (les mots et le ton employé) est un formidable outil de conditionnement pour le faire parce qu’elle est précise et peut être employée à tout moment et en tout lieu.
Ainsi une Reine pendant la phase d’éducation aura tout intérêt à utiliser la parole pour conduire son chevalier à la soumission qu’Elle attend de lui.
Les phrases et le ton pourront être doux (D) ou Cassant (C) suivant son humeur et l’avancée du dressage de ce dernier.
Ainsi par exemple :
Bien sûr la liste est non exhaustive et chacune saura employer les mots qui lui semblent les plus appropriés suivant les situations.
L’alternance de phrases douces ou cassantes permet à la Reine de mettre en place un processus de construction/destruction destiné à son chevalier.
La douceur pour le construire et l’aider à accepter sa soumission, la dureté pour détruire son ego de mâle. En d’autres termes les réflexions douces sont là pour rassurer le chevalier quant à l’amour que lui porte sa Reine et les réflexions cassantes pour lui faire perdre confiance quant à sa (prétendue donc…) virilité.
Ce dernier point l’aidera à reconnaitre la supériorité de sa Reine à travers sa féminité puisqu’il n’aura rien à lui opposer en retour.
Il a été montré dans un précédent article qu’une Reine, à la différence d’une Femme "normale" qui a tendance à sur-valoriser la taille du pénis de son partenaire, a tout intérêt à dévaloriser la virilité de son chevalier pour lui faire perdre confiance en lui-même et ainsi ne plus rien à avoir à opposer (au regard de notre culture) à sa féminité.
Pour une grande majorité d’homme (de ceux qui sont juste au dessus de la moyenne en descendant vers le bas) le constat sera facile à réaliser et un chevalier sera déstabilisé à l’idée que ce qu’il pensait être une lance est tout juste un petit robinet aux yeux de sa Reine. Il pourra néanmoins penser que cette dernière est exigeante ou qu’elle lui a dit cela juste pour le déstabiliser.
Il est donc important pour une Reine – une fois la constatation faite – de conditionner son chevalier à admettre qu’il ne s’agissait ni d’un jeu ni d’une simple taquinerie et que son sexe n’est pas un objet de fantasme pour Elle mais un objet qui va servir à l’humilier ou un jouet qui va servir à le contrôler.
Une Reine aura donc tout intérêt :
Tout ce conditionnement le conduira non seulement à reconnaitre (mais n’est ce pas souvent le cas ?) ses carences et son incompétences à satisfaire sexuellement sa Maîtresse de manière traditionnelle (en lui faisant l’amour) donc de sa chasteté (possible) et de sa nécessité de se rattraper avec sa langue mais mieux, même s’il est convaincu qu’une Femme à besoin de pluralité, qu’il est responsable du fait qu’il soit cocu (si il l’est).
A en juger par cette image, 44% des Femmes disent à leurs amies trouver le pénis de leur partenaire trop petit.
Que ce chiffre soit vrai ou faux, il n’en est pas moins vrai que satisfaite ou pas, une Femme ne tient pas le même discours lorsqu’Elle évoque le sujet avec son partenaire.
Ainsi, en schématisant on pourrait dire qu’il y trois types de pénis : les petits, les normaux, les gros.
Suivant l’éducation qui lui a été donnée dans sa jeunesse et afin de ne pas heurter l’ego de son partenaire ou pour le rassurer sur sa virilité, une Femme qui vit une relation ordinaire avec son partenaire aura tendance à sur-valoriser cette taille en la qualifiant de normale lorqu’il est petit, de grosse lorsqu’il est normal et d’énorme lorsqu’il est gros.
Inversement une Reine adepte de la suprématie Féminine sait que son pouvoir tient en partie au fait que son chevalier a compris ses attentes mais aussi qu’il aura perdu confiance dans sa virilité et qu’il n’aura alors – au regard des canons dominants actuels – rien à opposer à sa Féminité.
Ainsi lui dire que son pénis est minuscule lorsqu’il est petit, petit lorsqu’il est normal et juste normal quand il est gros participe à cette perte de confiance et l’aide à acquérir l’humilité nécessaire à son statut. Mieux : il admettra beaucoup plus facilement que c’est la vulve de de sa Reine qui est le pilier de leur relation et que sa satisfaction puisse passer par des solutions alternatives à une pénétration insatisfaisante (l’utilisation de sa langue) ou par des pénétrations satisfaisantes (mais avec d’autres hommes).
Quelle que soit leur complicité et l’amour qu’Elle porte à son chevalier, au point d’accepter de le branler, une Reine peut aussi lui rappeler (et ce d’autant plus qu’il est chaste) que son sperme a peu d’importance à ses yeux en le faisant éjaculer sur un essuie-tout.
Cette pratique aura aussi l’avantage – lui qui ne l’a plus – de renvoyer à ce dernier l’image d’un adolescent puceau n’ayant pas encore accès à l’intimité d’une Femme.
Lorsqu’une Reine marque de l’intérêt le soir pour un god de taille très moyenne c’est :
Devoir porter :
Comment ne pas être humble face à sa Reine dans ces conditions ?