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Tampon

Dans une relation traditionnelle il est rare qu’une femme se plaigne de la taille du sexe de son partenaire afin de le ménager. Ce silence entraine souvent une grande frustration de sa part d’autant plus que notre société prônant la fidélité elle est condamnée à rester insatisfaite sauf à le tromper en cachette ou à le quitter quelles que soient ses qualités autres.

Dans une relation D/s, une Reine n’hésitera pas à se plaindre et à expliquer à son chevalier qu’elle ne saurait se contenter de ce qu’il lui offre.

Une Reine a tous les droits, notamment ceux de rendre son chevalier chaste et cocu, mais dans ce cas précis, elle pourra en plus le rendre responsable ce cet état de fait.

Conséquence perverse : Le chevalier devra se féliciter d’être cocu, puisque ce qui compte avant tout c’est le bonheur de sa Reine et qu’une partie de son bonheur ne peut passer que par des plaisirs que seuls des amants peuvent lui offrir.

Pavlov

En rendant son chevalier chaste et cocu une Reine va déclencher chez lui un attrait pour le fétichisme.

N’ayant pas accès à ce qui fait l’essentiel de ce qu’attend un homme il va se retourner vers l’accessoire.

En éduquant son chevalier à apprécier l’odeur de transpiration de ses pieds dans ses chaussures une Reine va rapidement créer un besoin chez son chevalier qui le conduira à des érections contrariées par sa cage.

Savoir que de telles odeurs – a priori non compatibles avec ce qui fait normalement son charme – excite un homme fera (entre autres) qu’une Femme se sentira vraiment Reine.

 

Artefact

Lorsqu’une Reine a décidé que son chevalier resterait chaste – soit par principe, soit parce que son zizi est trop petit pour la satisfaire – mais qu’elle aime la sensation de la pénétration, il lui reste 2 options : prendre des amants et/ou utiliser des gods.

 

A votre avis est-il plus humiliant pour un chevalier :

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Assumer

Si l’essentiel d’une relation Reine / chevalier (Donc Dominante / soumis) se passe dans l’intimité du couple, il peut être intéressant pour la Reine (et difficile pour le chevalier) de partager certains secrets avec des tiers (autres que les amants qui savent forcement que le chevalier est cocu)

Dire à des amies proches (ou des collègues de travail) qu’elle contrôle totalement la sexualité de son chevalier en lui faisant porter une cage de chasteté renverra une image de pouvoir auprès de ces dernières (qui même si elles ne sont pas forcement adeptes de ce genre de chose seront épatées de voir qu’une Femme puisse s’imposer ainsi auprès d’un homme).

Bien sûr – que ces aveux aient lieu en présence ou non du chevalier – elle pourra vouloir le moment opportun prouver ses dire et demander à celui-ci montrer son engin encagé (dans une forme d’exhibition d’autant plus humiliante qu’elle sera la reconnaissance qu’il a perdu le contrôle de ce qui fait l’essence de sa virilité).

Un grand moment de plaisir pour une Reine, un grand moment de solitude pour son chevalier.

Participation passive

Si une Reine fait cocu son chevalier ce n’est pas parce qu’elle ne l’aime pas mais parce qu’il est dans sa nature d’avoir besoin de multiples partenaires.

Elle peut décider de voir son (ses) amant(s) seule ou accompagnée de son chevalier (voire les deux – alternativement – suivant son humeur).

Lorsqu’elle l’associe à ses rencontres elle peut souhaiter qu’il soit passif (juste voyeur) ou passif (acteur).

Dans les deux cas c’est le signe :

  • Qu’elle l’aime et qu’elle veut l’associer à son plaisir
  • Qu’elle aime à l’humilier (pour le rendre plus humble) en l’associant à des plaisirs (pénétration, fellation) qu’elle lui refuse