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Non !

" Non mon amour ! Tu sais bien que le fait que nous soyons mariés ne te donne aucun droit de cuissage sur moi. Tu as accepté ta chasteté et MA liberté comme conditions à notre union. Ta frustration de ne pouvoir me faire l’amour me rend plus désirable à tes yeux et l’humiliation d’être cocu te rend plus soumis. C’est ce que nous voulions tous les deux et jamais je ne mettrai en danger l’équilibre de notre couple en t’accordant une satisfaction passagère. "

" Maintenant laisse-moi seule. Je t’appellerai quand j’aurai besoin de toi. "

S’en remettre à Elle

Une fois la relation, l’empathie et la confiance réciproque bien établies et pour prouver son amour et sa soumission, un chevalier doit être capable d’accepter non seulement la complète liberté sexuelle de sa Reine mais aussi qu’inversement Elle contrôle sa sexualité à lui, ce quels que soient les moyens employés.

Cité interdite

Certaines Femmes ont la vulve ainsi faite que lorsqu’Elles écartent les jambes on peut voir l’intérieur de leur vagin.

Dans ce cas, cette vision – sa Reine le sait bien – renforce la frustration d’un chevalier chaste et cocu, puisqu’il voit l’intérieur de cette cité qui lui est interdite alors qu’il sait que d’autres hommes peuvent y être invités.

Nudité forcée

A condition que la température ambiante si prête bien sûr, la nudité imposée par une Reine à son chevalier – même dans des moments très ordinaires de leur vie de couple – conduira ce dernier à  trouver naturel de n’avoir plus d’intimité donc à renforcer son humilité et la perception qu’il a de la supériorité de sa Reine.

Attentions

Il n’est pas rare qu’une Reine qui fait son chevalier cocu lui interdise ce qu’Elle accepte de ses amants à savoir le droit de la pénétrer.

Ce n’est pas une raison pour Elle d’oublier les besoins de ce dernier et de ne pas stimuler parfois son zizi par des caresses affectueuses.

Au contraire même, puisqu’en l’absence de pénétrations (et de fellations) elles se situent – juste après la branlette – à l’avant dernière étape sur l’échelle du plaisir qu’il peut recevoir de la part de sa Reine et qu’à ce titre, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elles ont beaucoup plus de valeurs que lorsqu’elles sont pratiquées dans le cadre d’une relation traditionnelle.

Difficile à accepter

Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.

En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.

La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.

Faute de mieux

"Mon amour, puisque tu serais bien incapable de me satisfaire avec la petite quéquette qui te sert d’attribut sexuel, et puisque aucun de mes amants n’est disponible ce soir, je te propose d’essayer de me donner du plaisir avec ce god. Bien sûr ce ne sera pas pareil mais au moins auras tu l’occasion de me remplir le ventre, même par procuration."