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Objet d’expérimentation

S’il est indispensable qu’un chevalier connaisse parfaitement le fonctionnement de l’intimité de sa Reine pour mieux l’honorer, cette dernière peut aussi s’intéresser au fonctionnement du sexe d’un homme (ne serait-ce que pour donner plus de plaisir à ses amants) et se servir de ce dernier comme objet d’expérimentation afin de joindre l’utile (pour Elle) à l’agréable (en tout cas parfois et lorsqu’il jouit, pour lui) notamment pour celles qui aiment à jouer les infirmières.

Au programme – par exemple – chercher une corrélation entre fréquence des branlettes et quantité de sperme récolté ou rapidité à éjaculer. Idem concernant la manière de faire ou les conditions (à main nue ou avec des gants et suivant leur matière, cuir, caoutchouc, latex, par exemple) de l’expérimentation.

Dans une quête sans fin (et également ludique pour Elle), la Reine peut chercher à connaitre l’influence de mots prononcés ou d’odeurs associées à l’opération, bref à tout savoir (ou presque) pour être une parfaite amante mais pour aussi maîtriser parfaitement la sexualité de son chevalier.

Récompense pour petit garçon

A la fois maternelle et dominante, proche et distante, le plaisir de faire plaisir à son chevalier mais aussi celui de le conditionner, par la chasteté et des branlettes répétées données sous forme de récompense, à se sentir petit garçon face à Elle, jusque dans une sexualité qui le verra accepter comme finalité ce qu’un adulte considère comme préliminaire.

Mécanique des fluides

Bien qu’éjecté parfois de manière ascendante, le sperme d’un chevalier a moins de valeur que l’urine de sa Reine quand bien même Elle est projetée de manière descendante.

En effet le sperme d’un chevalier est peu (ou totalement) inutile aux yeux de sa Reine (surtout s’il est chaste et qui ne peut lui donner de plaisir en jouissant dans son ventre) alors que l’urine de cette dernière sert autant à humilier celui qui accepte de la recevoir qu’à le marquer physiquement au moyen de son odeurs et de ses phéromones.

A ce titre cette urine, comme tout ce qui provient de son intimité, est (aux yeux d’un homme soumis au moins) un des instruments participant à lui donner son pouvoir Féminin.

Obliger son soumis à se branler (voire à jouir parfois) alors qu’Elle lui pisse dessus est un moyen pour une Reine de lui faire comprendre que si son sperme est une conséquence de son plaisir c’est bien l’urine de sa Maîtresse qui en est la cause et que donc, dans le type de relation qu’ils ont engagée, l’urine de la Femme à plus de valeur que le sperme de l’homme.

Branlette humiliante

Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.

Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.

NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.

Branlette supervisée

Superviser les branlettes de son chevalier a pour une Reine de multiples avantages.

Parmi ceux ci : le mettre dans une situation très humiliante bien sûr (surtout s’il est chaste et que c’est pour lui le seul moyen de jouir) mais aussi d’empêcher que son esprit vagabonde (au risque de la tromper même virtuellement) et donc s’assurer que tous ses fantasmes masturbatoires soient uniquement tournés vers Elle.

Ligne de démarcation

Chasteté ne voulant pas dire abstinence, une Reine portant une chaîne de cheville, peut autoriser son soumis à se branler et jouir sur ses pieds en dessous de cette chaîne qui signifie qu’il est cocu, pou lui rappeler que tout dépôt de sperme au delà de cette ligne, que ce soit dans son intimité, sa bouche ou sur son corps est réservé à ses amants.