Ce n’est pas parce qu’une Reine interdit à son chevalier de se branler en dehors de sa présence qu’Elle s’intéresse forcement à la chose.
" Elle est petite mais sensible. Tu ne serais pas éjaculateur précoce en plus ? "
" J’espère que tu rendras hommage à ma technique en m’honorant d’un beau jet de grand garçon. "
" Tu aimes ? Pas trop j’espère, parce que même si c’est Moi qui aie demandé à mon Amie de te branler, je serais vexée que tu jouisses aussi rapidement que quand c’est Moi qui le fais. Et si c’était le cas, j’ai bien peur que tu ne puisses pas espérer le faire avant au moins, ce qui serait le minimum, un mois. Sois fort et montre-moi que tu ne veux pas me décevoir. "
Les yeux dans le vague, sans entrain, sans passion, branler son soumis comme Elle le lui avait promis, en pensant à autre chose. Mais après tout, pour lui, qu’importe la façon pour peu qu’il ait l’orgasme.
" C’est moins doux que mon vagin qui t’est interdit ou que ma main que tu espérais mais j’espère que c’est mieux pour toi que le contact avec les barreaux de ta cage de chasteté. "
" J’ai accroché la clé de ta cage de chasteté à une branche du sapin. Sauras-tu la retrouver en ne te servant que de tes yeux si tu voulais pouvoir te branler ce soir, puisque nous sommes dimanche et que ça ne dépend plus que de toi ? "
" Dès que tu seras sur le point de jouir préviens-moi, que j’arrête, parce que je serais très fâchée que tu salisses ma jupe ou mes collants. En revanche, pour te récompenser d’avoir su te maitriser, tu pourras te mettre à genoux à mes pieds et te finir en éjaculant sur mes bottes. "
" Je n’ai pas encore assez bu pour être excitée à l’idée de te voir te branler. "
" L’autorisation accordée à un chevalier de jouir entre les jambes de sa Reine mais pas de la manière dont on l’attend usuellement. "
